À la une…
Principes

Boisson

• Bookmarks: 406 • Comments: 2 6600


Plus de 70 % des personnes âgées et des enfants vivant en France sont insuf­fi­sam­ment hydra­tés (voir siteN1). La surhy­dra­ta­tion est plus rare ; elle peut se mani­fes­ter chez des spor­tifs appli­quant à l’ex­cès les consignes d’hy­dra­ta­tion pendant l’ef­fort, provo­quant une baisse de leur teneur sanguine en sodium et un gonfle­ment des cellules qui peut être fatal (voir articleN2).

La sous-hydratation précède la sensa­tion de soif. Celle-ci est déjà un signal de détresse. Chez les personnes âgées, les méca­nismes régu­la­teurs fonc­tionnent moins bien, au point de ne plus ressen­tir la soif et de tomber dans un état chro­nique de déshy­dra­ta­tionN3 qui peut être dange­reu­se­ment aggravé par la prise de médi­ca­ments diuré­tiquesN4.

L’étude de Ashima K Kant et al. (2009N5) sur la popu­la­tion nord-américaine indique que 63 % des personnes de 65 à 74 ans sont insuf­fi­sam­ment hydra­tées, cette propor­tion s’éle­vant à 73 % chez les 75–84 ans et 81 % chez les plus de 85 ans. Le problème augmente avec l’âge, et les consé­quences peuvent être drama­tiques car, si la déshy­dra­ta­tion augmente le risque d’acci­dent vascu­laire céré­bralN6, elle en multi­plie aussi les effets : dans une étude présen­tée par l’American Stroke Association (2015), plus de la moitié des 168 personnes hospi­ta­li­sées pour un AVC isché­miqueN7 étaient déshy­dra­tées, et les problèmes se sont aggra­vés ou sont restés les mêmes chez 42 % des patients déshy­dra­tés, contre seule­ment 17 % des patients hydra­tés (2015N8).

Sommaire

Ni trop ni trop peu

Exemple à ne pas suivre !

L’enquête publiée par Erica L Kenney et al. (2015N9) a déter­miné que plus de la moitié des enfants améri­cains de 6 à 19 ans étaient insuf­fi­sam­ment hydra­tés. Un quart des sujets ont déclaré qu’ils ne buvaient jamais de l’eau plate et se conten­taient de bois­sons sucrées pour étan­cher leur soif.

La sous-hydratation réduit les perfor­mances physiques. Elle altère aussi la mémoire et les fonc­tions cogni­tives. Poussée à l’ex­trême et asso­ciée à du stress ou de la fatigue, elle peut déclen­cher un acci­dent cardiaque ou un AVCN6. Une insuf­fi­sante hydra­ta­tion peut être asso­ciée à de nombreux symp­tômes (voir pageN10) — fatigue et maux de tête, insom­nie, crampes, asthme et aller­gies, hyper­ten­sion, problèmes de diges­tion, consti­pa­tion, calculs dans les reinsN11, mala­dies de la peau : psoria­sisN12 etc.

Une étude récente menée à Loughborough University (voir pageN13) a mesuré que des chauf­feurs sous-hydratés faisaient autant d’er­reurs de conduite que sous l’ef­fet de stupé­fiants ou d’alcool.

Il est donc vital pour chacun de mettre en place des habi­tudes de bois­son régu­lière, pendant ou autour des repas, en consom­mant une eau de la meilleure qualité à tempé­ra­ture modérée.

Que boire ?

soda-drink-large
Source : N14

Il me paraît inutile ici d’épi­lo­guer sur les risques liés à la consom­ma­tion de bois­sons sucrées — y compris (et surtout) en version « allé­gée » (voir pageN15) — ou encore de bois­sons éner­gi­santes (voir pageN16). Tout comme les bois­sons alcoo­li­sées, elles peuvent procu­rer du plai­sir et de la socia­bi­lité, mais elle ne devraient pas se substi­tuer à la consom­ma­tion d’eau.

Le verre de vin rouge quoti­dien préco­nisé par des études récentesN17 peut être envi­sagé (c’est un acte de foi !) comme un prébio­tiqueN18 mais pas une boisson…

Les jus de fruits indus­triels à sucre ajouté — souvent du sirop de maïsN19 — seraient encore plus nocifs que les sodas en raison de leur teneur en fruc­tose (voir articleN20). Le fruc­toseN21 est accusé d’être un des prin­ci­paux moteurs du diabète de type 2N22 (voir articleN23). Les fruits sont aussi des sources de fruc­tose (20 à 50 % de leurs glucides), quoique si on les consomme en entier la présence de fibres compense l’ef­fet délé­tère du fruc­tose, comme l’ex­plique la vidéo Sugar : the bitter truthN24 de Dr Robert Lustig à l’Université de Californie.

orange_juice

L’orange pres­sée au petit-déjeuner est la parfaite illus­tra­tion d’un mauvais conseil nutri­tion­nel érigé en exemple — avec l’ap­pui des marchands d’agrumes ! Elle apporte du sucre sous forme de fruc­toseN21 sans présence de fibres, empê­chant l’as­si­mi­la­tion correcte des graisses satu­rées, tout cela pour four­nir une quan­tité déri­soire de vita­mine C (voir articleN25). Dans 120 calo­ries de fruc­tose, 40 sont conver­ties en graisse. La popu­la­rité de cette pratique pour­rait s’ex­pli­quer par une addic­tion au fruc­toseN21 : Alors qu’on sait que le goût sucré provoque chez les animaux de labo­ra­toire une addic­tion compa­rable à celle des drogues, le fruc­tose, qui a un pouvoir sucrant cinq fois supé­rieur à celui du glucose, pour­rait agir comme un « super-sucre » entraî­nant une véri­table dépen­dance (voir pageN26).

Sur la page Faut il se méfier des fruits ?N27 Christophe Carrio expose les problèmes liés à la consom­ma­tion de fruc­tose et donne une idée des quan­ti­tés à ne pas dépas­ser au quoti­dien. Un marqueur de cet excès serait l’ac­cu­mu­la­tion de graisse abdo­mi­nale. La dépen­dance au fruc­tose se signale par un taux d’acide uriqueN28 (uricé­mie) supé­rieur à 50 mg/l.

Selon des études récentes, la consom­ma­tion de café serait asso­ciée à une moindre morta­lité, notam­ment par cancer et mala­dies cardio­vas­cu­laires. L’étude obser­va­tion­nelle d’e’Erikka Loftfield et al. (2018N29) portant sur 9.2 millions d’ha­bi­tants du Royaume-Uni, conclut :

La consom­ma­tion de café était inver­se­ment asso­ciée à la morta­lité, y compris chez ceux qui buvaient 8 tasses ou plus par jour et chez ceux dont le poly­mor­phisme géné­tique indi­quait un méta­bo­lisme plus lent ou plus rapide de la caféine. Ces résul­tats suggèrent l’importance des consti­tuants de la non-caféine dans l’association café-mortalité et renforcent l’assurance que la consom­ma­tion de café peut faire partie d’une alimen­ta­tion saine.

L’étude étant obser­va­tion­nelle, le lien de cause à effet n’a pas été établi, malgré que de nombreux facteurs confon­dants (âge, sexe, consom­ma­tion d’al­cool, habi­tudes de vie etc.) aient été neutra­li­sés. Les cher­cheurs ignorent encore par quel proces­sus cette protec­tion est obte­nue. Une piste à explo­rer serait la produc­tion de testo­sté­roneN30 augmen­tée par le café. Cette hormone joue un rôle impor­tant aussi bien chez les femmes que les hommes, notam­ment par la bioge­nèse accé­lé­rée de mito­chon­driesN31.

Ne pas oublier toute­fois que le café fait partie des bois­sons diuré­tiques. Sa consom­ma­tion devrait donc être compen­sée par une plus forte consom­ma­tion d’eau…

Un régime « sans sel » peut aussi être une cause de déshy­dra­ta­tion chro­nique. Le besoin quoti­dien pour un adulte serait de 3 à 4 grammes alors que la Food and Drug Administration aux USA recom­mande 2.3 grammes — voir mon article Le sel est-il notre ami ? Certains méde­cins pres­crivent moins de 1.5 grammes. Bien entendu, il faut tenir compte du sel contenu dans certains aliments, notam­ment les fromages et la plupart des produits de l’in­dus­trie alimentaire.

La qualité de l’eau

J’espère avoir démon­tré que l’eau plate est la seule source raison­nable d’hy­dra­ta­tion au quoti­dien. L’eau se présente sous trois formes dans notre alimen­ta­tion quoti­dienne : à l’in­té­rieur des aliments, consom­mée en bouteille ou prise à la source.

tour-de-cuisse

Une eau forte­ment miné­ra­li­sée risque d’être stockée dans l’es­pace inter­cel­lu­laire et de contri­buer à la cellu­lite (majo­ri­tai­re­ment chez les femmes). En chrono-nutrition® selon Delabos et collèguesN32, la consom­ma­tion de soupes et de légumes char­gés en eau forte­ment miné­ra­li­sée est donc réduite au mini­mum pour favo­ri­ser l’amincissement.

Pour des raisons simi­laires, la consom­ma­tion des eaux miné­rales devrait être modé­rée et répondre à des besoins précis (voir pageN33). Au quoti­dien, si l’on ne dispose pas d’un accès satis­fai­sant à l’eau potable, il est préfé­rable de se tour­ner vers une eau de source en bouteille.

En France, le minis­tère de la santé publie des infor­ma­tions précises sur la qualité de l’eau potable distri­buée par le réseau (voir pageN34). Il peut être utile de complé­ter ces données par une mesure de la qualité micro­bio­lo­gique et la détec­tion de métaux ou de rési­dus de produits phyto­sa­ni­taires. Des kits d’ana­lyse sont vendus à un prix raison­nable par diverses offi­cines (exempleN35).

petit-prince

Un dispo­si­tif de filtra­tion ou d’épu­ra­tion peut amélio­rer la qualité de l’eau pour son utili­sa­tion en consom­ma­tion alimen­taire, mais il faut le choi­sir après s’être bien rensei­gné pour éviter l’ins­tal­la­tion au prix fort d’un équi­pe­ment inef­fi­cace ou surdi­men­sionné (voir Que ChoisirN36 et WikipediaN37).

Les plus chan­ceux (j’en fais partie) sont ceux qui vivent à proxi­mité d’une fontaine d’eau de source, ou qui peuvent se permettre, chaque jour, de marcher tout douce­ment vers une fontaine comme Le Petit Prince…

Arnaques – ou tempête dans un verre d’eau ?

H2Om
Source : site H2OmN38

De nombreux appa­reils sont commer­cia­li­sés sous l’al­lé­ga­tion de four­nir une eau « alca­li­ni­sée » et « struc­tu­rée », deux proprié­tés qui favo­ri­se­raient notam­ment l’hydratation des cellules et l’élimination des toxines (voir article sur le procédé KangenN39). Aucun de ces dispo­si­tifs n’a fait l’ob­jet d’une véri­fi­ca­tion scien­ti­fique. Le site Water Cluster QuackeryN40 dresse une liste détaillée de théo­ries fantai­sistes construites autour de la notion d’eau structurée.

À ce sujet, je suis en total désac­cord avec Joseph Mercola quand il fait la promo­tion du procédé Kangen (voir vidéoN41) ou se hasarde dans des conclu­sions hâtives à partir des travaux de Gerald Pollack sur l’exclu­sion zone waterEZ’ (voir entre­tienN42 et articleN43). Exemple de propos délirant :

Vous pouvez aussi produire de l’eau struc­tu­rée en l’agi­tant [dans un tour­billon] ou en la refroi­dis­sant à 39° F [3.88° C]. Personnellement, je bois presque toujours de l’eau « tour­billon­née » [vortexed] depuis je suis devenu un grand admi­ra­teur de Viktor Schauberger [N44] qui a accom­pli beau­coup de travail de pion­nier sur le tour­billon­nage il y a un siècle. Le Dr Pollack a décou­vert qu’en créant un tour­billon dans un verre d’eau, on lui apporte de l’éner­gie, et de cette manière on renforce la struc­ture de l’eau. D’après le Dr Pollack, N’IMPORTE QUELLE forme d’éner­gie appor­tée à l’eau semble capable de créer ou de construire de l’eau structurée.

Les « inven­tions » de SchaubergerN44 font partie de théo­ries du complot en vogue chez ceux qui croient à « l’éner­gie libre »N45… Admettons que l’eau « éner­gi­sée » par vortex ne néces­site pas l’ins­tal­la­tion d’un appa­reillage coûteux ; si elle ne fait pas de bien elle ne doit pas non plus faire de mal (effet placeboN46). Mais on navigue ici à la lisière d’une pensée magique qui peut induire de faux espoirs chez une personne souffrante.

Un commen­taire instruc­tif de l’ou­vrage de G. Pollack, The Fourth Phase of WaterN47 est publié par Charles Eisenstein (2014N48). Voir aussi l’ar­ticle de Yoann Boyer (2022N49). Pollack a pris soin, dès l’in­tro­duc­tion, de préve­nir ses lecteurs que son modèle théo­rique était en grande partie spécu­la­tif, mais il est tentant de s’ap­puyer sur le modèle en l’état pour « expli­quer » des pratiques non-conventionnelles, comme ce fut le cas pour l’ho­méo­pa­thie à partir des travaux de Jacques BenvénisteN50 sur la « mémoire de l’eau »N51.

Une autre « arnaque » qui a fait son chemin chez les adeptes de « méthodes natu­relles » est celle de l’eau enri­chie en hydro­gène. Elle est suppo­sée faci­li­ter la guéri­son de diabètes de type 2N22, voire même de cancers… Un dossier de Jérémy Anso (2023N52) montre que les études, même indé­pen­dantes, ne montrent aucun bien­fait de la consom­ma­tion de cette eau « miraculeuse » :

On réalise au terme de cette enquête que les bien­faits suppo­sés des bois­sons enri­chies en hydro­gène sont fragiles, préli­mi­naires et large­ment mis en avant par des socié­tés savantes et des cher­cheurs qui en tirent un béné­fice finan­cier. La majo­rité des signaux sont négatifs.

Nos besoins en eau

Source : Gify

Ces besoins varient selon les personnes. Le mini­mum de 1.3 litre par jour pour un adulte est un simple repère, mais la surhy­dra­ta­tion est aussi une mauvaise habi­tude, expo­sée en détail dans Fiber Menace (Monastyrsky K, 2008N53 pages 45–57). L’auteur réfute entre autres la croyance qu’une plus forte consom­ma­tion d’eau permet­trait de mettre fin à la consti­pa­tion. Toutefois, sa posi­tion est un peu exces­sive et ne corres­pond pas aux données récentes sur les pratiques nutritionnelles.

Aucune norme ne peut être fixée, les besoins dépen­dant de l’âge, du poids, du sexe, de la quan­tité d’eau dans les aliments et du méta­bo­lisme (très variable) de chaque indi­vidu. Des formules comme q = ((p – 20) * 15 + 1500) / 1000, où p serait le poids en kilos et q la quan­tité quoti­dienne d’eau de bois­son, ne servent qu’à mesu­rer l’in­com­pé­tence de leurs auteurs !

Une surhy­dra­ta­tion se traduit par un déséqui­libre d’élé­ments vitaux (calcium, magné­sium, sodium potas­sium…) qui peut avoir une inci­dence notam­ment sur le fonc­tion­ne­ment du cœur. La manière la plus sûre de véri­fier que son hydra­ta­tion est correcte est de compa­rer la couleur de son urine à un nuan­cier (voir imageN54).

Des indices de sous-hydratation sont les crampes, des migraines fréquentes, des calculs dans les reins et un besoin accru de consom­ma­tion de sel. Un excès de sel pour­rait contri­buer à l’ap­pa­ri­tion de cancers (voir articleN55) ou de mala­dies auto-immunes (voir articleN56), mais l’abs­ti­nence totale n’est pas pour autant souhai­table : il faut avant tout veiller à un bon équi­libre sodium-potassium — voir mon article Le sel est-il notre ami ?

La plupart des personnes adop­tant une diète faible en glucides et riche en graisses (LCHF) commettent l’er­reur de se sous-hydrater pendant les repas, ce qui peut avoir de graves consé­quences. En chrono-nutrition® (N32), on recom­mande de boire 2 ou 3 verres d’eau (de 150 cl) pendant chacun des repas pour diluer un bol alimen­taire que le choix des aliments rend très concen­tré. J’ai adopté cette pratique, bien que cette recom­man­da­tion ne soit pas formu­lée aussi clai­re­ment dans les ouvrages du Dr Delabos.

La popu­la­rité de la diète cétogène et du régime « paléo », tous deux riches en protéines et en graisses, a mis en évidence un besoin accru d’hy­dra­ta­tion asso­cié à ces pratiques. Ce besoin est encore plus flagrant sous un climat chaud. Il en résulte qu’on est amené à consom­mer une plus grande quan­tité d’eau, y compris en dehors des repas. Pour éviter la démi­né­ra­li­sa­tion, il est donc conseillé d’ajou­ter à cette eau des élec­tro­lytes sanguinsN57 (un mélange de sodium, potas­sium, calcium, magné­sium) en vente au rayon des sportifs. 

Les avis sont parta­gés chez les biolo­gistes sur le meilleur moment pour s’hy­dra­ter (voir articleN58). L’important est d’être suffi­sam­ment hydraté pendant le repas et la diges­tion car le foie, notam­ment, a besoin de suffi­sam­ment d’eau pour bien fonc­tion­ner. On peut aussi s’hy­dra­ter en buvant suffi­sam­ment 30 minutes avant le repas. Dans tous les cas, éviter de boire immé­dia­te­ment avant d’ab­sor­ber des aliments solides pour ne pas trop diluer les sucs gastriques.

▷ Liens

🔵 Notes pour la version papier :
- Les iden­ti­fiants de liens permettent d’atteindre faci­le­ment les pages web auxquelles ils font réfé­rence.
- Pour visi­ter « 0bim », entrer dans un navi­ga­teur l’adresse « https://​leti​.lt/0bim ».
- On peut aussi consul­ter le serveur de liens https://leti.lt/liens et la liste des pages cibles https://leti.lt/liste.

  • N1 · y2lx · Hydratation : pour­quoi elle est impor­tante pour les seniors
  • N2 · xcxy · Mourir d’avoir trop bu… d’eau !
  • N3 · 10ni · Déshydratation (méde­cine) – Wikipedia
  • N4 · njpi · Diurétique – Wikipedia
  • N5 · cjnh · Intakes of plain water, mois­ture in foods and beve­rages, and total water in the adult US population—nutritional, meal pattern, and body weight corre­lates : National Health and Nutrition Examination Surveys 1999–2006
  • N6 · jrzg · Accident vascu­laire céré­bral – AVC – Wikipedia
  • N7 · f42s · Ischémie – Wikipedia
  • N8 · cs0n · Dehydration linked to worse­ning stroke conditions
  • N9 · mjwe · Prevalence of Inadequate Hydration Among US Children and Disparities by Gender and Race/Ethnicity : National Health and Nutrition Examination Survey, 2009–2012
  • N10 · 2kjd · Dehydration – Symptoms
  • N11 · xtdl · Lithiase biliaire – Wikipedia
  • N12 · afq3 · Psoriasis – Wikipedia
  • N13 · 1tjo · Dehydrated drivers make the same number of mistakes as drink drivers
  • N14 · pg95 · Fizzy drinks are as bad for your health as tobacco
  • N15 · nbjb · Sodas : le light plus dange­reux que les bois­sons sucrées quant au diabète
  • N16 · 1lwd · Résultats de notre enquête sur la consom­ma­tion de bois­sons éner­gi­santes – IRBMS
  • N17 · vdlv · Addicts au sport… et sujets à l’alcoolisme ?
  • N18 · 9lnn · Prébiotique – Wikipedia
  • N19 · 2xub · Sirop de maïs – Wikipedia
  • N20 · ok3f · Smoothies and fruit juices are a new risk to health, US scien­tists warn
  • N21 · 3w7b · Fructose – Wikipedia
  • N22 · a3u9 · Diabète de type 2 – Wikipedia
  • N23 · 7y05 · Le fruc­tose est le prin­ci­pal moteur du diabète
  • N24 · 5hkr · Vidéo “Sugar : The Bitter Truth”
  • N25 · 3shn · Sorry, Orange Juice Isn’t a “Health Food” (And The Truth About Vitamin C)
  • N26 · m2pn · Le fruc­tose, un addi­tif problématique ?
  • N27 · mli8 · Carrio C (2012). Faut-il se méfier des fruits ?
  • N28 · m2nh · Acide urique – Wikipedia
  • N29 · 1zv8 · Association of Coffee Drinking With Mortality by Genetic Variation in Caffeine Metabolism
  • N30 · awy2 · Testostérone – Wikipedia
  • N31 · alc0 · Mitochondrie – Wikipedia
  • N32 · seoe · Site offi­ciel de la chrono-nutrition
  • N33 · erm1 · À chaque besoin son eau minérale
  • N34 · xjz9 · Qualité de l’eau potable – Ministère des Affaires sociales et de la Santé
  • N35 · tivg · AQUATYCIA labo­ra­toire accré­dité et bureau d’études
  • N36 · fujb · Traitement de l’eau : Les diffé­rents dispo­si­tifs – Que Choisir
  • N37 · 10ar · Purification de l’eau – Wikipedia
  • N38 · d88j · Site “H2Om – Water with Intention”
  • N39 · 5x9a · L’eau Kangen : mensonges en cascade
  • N40 · 2tmr · Water Cluster Quackery
  • N41 · sf1j · Vidéo “Dr. Mercola Explains Restructured Kangen Alkaline Water”
  • N42 · dawt · Vidéo “Interview with Dr. Gerald Pollack”
  • N43 · gaqv · Drinking Water Is Becoming Increasingly Toxic — And Scarce
  • N44 · 060b · Viktor Schauberger – Wikipedia
  • N45 · j7fe · Théorie du complot contre l’éner­gie libre – Wikipedia
  • N46 · 3kr9 · Effet placebo – Wikipedia
  • N47 · i400 · Ouvrage “The Fourth Phase of Water : Beyond Solid, Liquid, and Vapor” – Gerald H Pollack
  • N48 · y3je · The Waters of Heterodoxy : A Review of Gerald Pollack’s “The Fourth Phase of Water”
  • N49 · q6c0 · Don’t fall for the snake oil claims of ‘struc­tu­red water’. A chemist explains why it’s nonsense
  • N50 · o3rx · Jacques Benveniste – Wikipedia
  • N51 · kf8j · Mémoire de l’eau – Wikipedia
  • N52 · nui5 · Miracle ou arnaque : la vérité sur l’eau enri­chie en hydrogène
  • N53 · x9xj · Monastyrsky K (2008). Fiber Menace : The Truth About the Leading Role of Fiber in Diet Failure, Constipation, Hemorrhoids, Irritable Bowel Syndrome, Ulcerative Colitis, Crohn’s Disease, and Colon Cancer
  • N54 · 4cny · Un outil pour véri­fier votre hydratation
  • N55 · gey9 · Manger trop de sel peut provo­quer des cancers
  • N56 · z8jh · Trop de sel pour­rait déclen­cher des mala­dies auto-immunes
  • N57 · vq0i · Électrolyte sanguin – Wikipedia
  • N58 · 9bdc · Is Drinking Water While Eating Good For You ?

Article créé le 26/09/2015 - modifié le 7/01/2024 à 16h24

406 recommended
2 commentaires
6600 visites

2 thoughts on “Boisson

  • Dans le bol digestif, boire 3 verres d’eau (de 150 cl) pendant chacun des 4 repas ne revient-il pas à manger de l\’eau comme avec les soupes par ex. ?
    Ne vaudrait-il pas mieux boire un peu avant de manger ?

    53
    • Les avis sont partagés sur le meilleur moment pour s\’hydrater, sachant qu\’il y a consensus sur l\’importance d\’être hydraté pendant le repas pour le bon fonctionnement du foie. Certains recommandent de boire une demi-heure avant le repas pour ne pas évacuer les sucs gastriques, mais il me paraît difficile de planifier ce cérémonial. Delabos et collègues ont donc toujours recommandé de boire pendant le repas, sachant que les aliments de la \”chrono\” sont très concentrés.
      Par contre, l\’eau contenue dans certains plats (comme les soupes) est surminéralisée et elle est accusée de favoriser la cellulite, alors que l\’eau \”plate\” n\’a pas cet effet indésirable.
      Quand on pratique de l\’exercice intensif, de préférence au lever avant le petit-déjeuner (riche en protéines) on doit s\’hydrater abondamment avant et pendant l\’exercice. Dans ce cas il est probable qu\’on consomme moins d\’eau pendant le petit-déjeuner.

      53

Écrire un commentaire...

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Oldest
Newest
Most Upvoted
Translate / traduire
Audio Player
00:00
00:00 / 00:00
➡ Sommaire