La question du dosage et de la fréquence de l’exercice d’endurance est liée au constat que de nombreux adeptes d’une pratique sportive intensive vieillissent mal, contrairement à leurs attentes.
Certain-e‑s sont victimes d’une insuffisance cardiaque ou d’un AVC (lien:jrzg) dont les causes sont recherchées ailleurs que dans leur surentraînement : malformation congénitale, etc. De telles explications peuvent correspondre à un déni de réalité. D’autres athlètes, confrontés à une diminution de leurs performances, renoncent à la compétition et réduisent ou abandonnent leur entraînement. La déchéance qui s’ensuit est mise sur le compte de « l’âge », alors qu’ils/elles auraient pu la ralentir, si ce n’est l’éviter, en apprenant à cibler l’exercice en réponse à leurs besoins.
Quelques questions méritent d’être posées, qu’on peut résumer à trois :
- Être en forme est-il un gage de bonne santé ?
- Est-il préférable de pratiquer de l’exercice d'endurance ou un entraînement fractionné de haute intensité ?
- À quelles doses ?
Les recherches des récentes décennies en médecine du sport et en biomédecine, complétées par l’expérience d’entraîneurs sportifs eux-mêmes confrontés à leur limite d’âge, permettent de voir clair dans les diverses formes d’entraînement.
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Article créé le 19/06/2016 - modifié le 2/07/2019 à 07h47