Maladies infectieuses

Réponse à la pandémie

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Intervention au Sénat de la République, Mexique, LXV Legislatura
le 28 février 2023

Source : https://​www​.malone​.news/​p​/​p​r​e​p​a​r​e​d​-​t​e​s​t​i​m​o​n​y​-​p​a​n​d​e​m​i​c​-​r​e​s​p​o​nse

🔵 Dr Robert Malone, MDMS

Président, International Alliance of Physicians and Medical Scientists (GlobalCOVIDSummit​.org)
Chief medi­cal and regu­la­tory offi­cer, The Unity Project

Dr Robert Malone
Dr Robert Malone

⚪️ Chers membres du Sénat et participants,

Mon nom est Robert Wallace Malone. Je suis un méde­cin formé aux États-Unis et habi­lité à prati­quer la méde­cine et la chirur­gie dans le Maryland, aux États-Unis. Je suis diplômé de l’Université Davis de Californie, de l’Université de San Diego Californie, de la Northwestern University Medical School et de la Harvard Medical School. J’ai été profes­seur adjoint et profes­seur asso­cié de patho­lo­gie et de chirur­gie à l’Université Davis de Californie, à l’Université du Maryland et à Uniformed Services University of the Health Sciences.

Pour gagner du temps, j’ai joint ma biogra­phie et mon CV pour que vous puis­siez les exami­ner et les prendre en consi­dé­ra­tion [voir Google Scholars]. J’ai passé ma carrière à travailler dans le domaine de la méde­cine et de la tech­no­lo­gie des vaccins. J’ai été l’un des premiers inven­teurs de la tech­no­lo­gie de base de la vacci­na­tion par ARNm et ADN (1989), je suis titu­laire de neuf brevets améri­cains dans ce domaine, et je suis un spécia­liste de la viro­lo­gie molé­cu­laire, de l’im­mu­no­lo­gie, de la recherche clinique, des ques­tions médi­cales, des ques­tions régle­men­taires, de la gestion de projets, de la gestion des propo­si­tions (subven­tions et contrats impor­tants), des vaccins et de la biodéfense.

J’ai fait le voyage jusqu’à Mexico pour m’adres­ser à vous aujourd’­hui, à l’ai­mable invi­ta­tion du Dr Alejandro Diaz Villalobos, qui a prononcé son discours d’ou­ver­ture sur le thème « Pandémie et vaccins, leçons apprises », suivi des commen­taires de mon cher et respecté collègue Steve Kirsch.

J’ai été profon­dé­ment impli­qué dans de nombreuses réponses à des épidé­mies anté­rieures, notam­ment le SIDA, l’alerte post anthrax/variole, la grippe pandé­mique, Ebola, Zika, et main­te­nant le SARS-CoV‑2. Cette exper­tise et cette expé­rience comprennent la rédac­tion, le déve­lop­pe­ment, l’exa­men et la gestion d’es­sais cliniques et de stra­té­gies de déve­lop­pe­ment clinique de vaccins, de menaces biolo­giques et de produits biolo­giques. J’ai travaillé pour le monde univer­si­taire, le gouver­ne­ment améri­cain (DoD et HHS), Solvay Pharmaceuticals, de déve­lop­peurs de vaccins finan­cés par Bill et Melinda Gates, des orga­nismes de recherche sous contrat régle­men­taires et cliniques, ainsi qu’une grande diver­sité de petites et grandes entre­prises biopharmaceutiques.

Mes réfé­rences ont été exami­nées et véri­fiées par le minis­tère améri­cain de la Défense, et j’ai obtenu une habi­li­ta­tion de sécu­rité de niveau « secret ». Je ne travaille pas actuel­le­ment pour le gouver­ne­ment améri­cain et ne le repré­sente en aucune façon, mes opinions et remarques ici sont personnelles.

Je suis ici pour vous faire part de mon point de vue sur les poli­tiques de santé publique, les vaccins et le trai­te­ment précoce du SARS-CoV‑2 au cours des diffé­rentes vagues, ainsi que de mes réflexions et recom­man­da­tions pour la gestion d’évé­ne­ments de santé publique à venir. Mes remarques porte­ront essen­tiel­le­ment sur la réponse des États-Unis au COVID, mais couvri­ront égale­ment certains aspects internationaux.

Pandémie de COVID, médi­ca­ments et vaccins, leçons apprises (partie II)

Avant le SARS-CoV‑2, l’en­sei­gne­ment et la pratique du gouver­ne­ment améri­cain en réponse aux épidé­mies de mala­dies infec­tieuses étaient que les centres fédé­raux de contrôle et de préven­tion des mala­dies (CDC) conseillent les auto­ri­tés de santé publique des États, qui ont l’au­to­rité et la respon­sa­bi­lité (fondées sur la Constitution des États-Unis) de gérer leurs propres poli­tiques de santé publique, et de régle­men­ter la pratique de la médecine.

Au cours des épidé­mies précé­dentes, les CDC améri­cains ont fait office de source fiable de données de santé publique impar­tiales, actua­li­sées et précises pour les méde­cins, les respon­sables de la santé publique des États et des collec­ti­vi­tés locales et, dans certains cas, pour la Pan American Health Organization (PAHO) et l’OMS.

D’après mon expé­rience profes­sion­nelle, lors de toutes les épidé­mies précé­dentes et des programmes de déve­lop­pe­ment de vaccins, les risques et les béné­fices ont toujours été évalués et stra­ti­fiés par groupe de risque, et les recom­man­da­tions de santé publique ont été adap­tées pour tenir compte des diffé­rences dans les rapports risques/bénéfices — souvent ajus­tés sur la base du calcul actua­riel de “quality-adjusted life year” [https://​fr​.wiki​pe​dia​.org/​w​i​k​i​/​Q​ALY].

Cette approche n’a pas été mise en œuvre pour trai­ter la crise du COVID. Au cours de l’épi­dé­mie de SARS-CoV‑2/COVID-19, de nouvelles poli­tiques et pratiques ont été mises en œuvre, qui ont contourné ou éliminé des normes phar­ma­ceu­tiques, régle­men­taires et de déve­lop­pe­ment clinique bien établies, notam­ment les direc­tives de la FDA, de l’EMA et de l’ICH (International Council for Harmonisation). En outre, il y a eu un manque­ment inten­tion­nel et systé­ma­tique au respect des normes bioé­thiques établies, notam­ment le Code de Nuremberg de 1947, la Convention de Genève, la Déclaration d’Helsinki de 1964, le rapport Belmont aux États-Unis et la “Common Rule” des États-Unis.

Le non-respect déli­béré de ces normes bioé­thiques fonda­men­tales et mondia­le­ment accep­tées a été justi­fié par la menace extrême présu­mée que repré­sen­tait pour la santé mondiale un coro­na­vi­rus créé en labo­ra­toire qui a appa­rem­ment été trans­mis à la popu­la­tion géné­rale de Wuhan, en Chine, en 2019.

Ce virus, nommé par la suite SARS-CoV‑2, a ensuite rapi­de­ment fait le tour du monde et a été asso­cié à des niveaux modé­rés de mala­die et de décès, avec un risque nette­ment infé­rieur au risque histo­rique de l’épi­dé­mie de « grippe espa­gnole » H1N1 de 1918. Les meilleures preuves actuelles, y compris le consen­sus du FBI et du dépar­te­ment de l’éner­gie des États-Unis, indiquent que le SARS-CoV‑2 est en fait un agent patho­gène fabri­qué en labo­ra­toire. La prin­ci­pale hypo­thèse actuelle concer­nant l’en­trée de cet agent patho­gène dans la popu­la­tion humaine est que le virus du SARS-CoV‑2 a été libéré dans la popu­la­tion civile de Wuhan, en Chine, à la suite d’un acci­dent non spéci­fié de confi­ne­ment de labo­ra­toire, mais d’autres théo­ries crédibles sont encore à l’étude.

Les infor­ma­tions à l’ap­pui de cette affir­ma­tion, obte­nues auprès de sources du gouver­ne­ment améri­cain, indiquent que l’in­gé­nie­rie biolo­gique de cet agent patho­gène a été réali­sée en partie en République popu­laire de Chine, à l’Institut de viro­lo­gie de Wuhan de l’Académie chinoise des sciences (WIV), qui a reçu un finan­ce­ment au moins partiel pour ce travail de déve­lop­pe­ment des National Institutes of Health des États-Unis et de la Threat Mitigation Branch de la Defense Threat Reduction Agency, DoD (DTRA). Ces travaux ont néces­sité une colla­bo­ra­tion scien­ti­fique et tech­nique avec Eco Health Alliance, une société de recherche et déve­lop­pe­ment basée aux États-Unis. Cette colla­bo­ra­tion compre­nait un impor­tant trans­fert de tech­no­lo­gies et de réac­tifs de Eco Health Alliance vers le WIV.

J’ai appris l’exis­tence du « nouveau coro­na­vi­rus 2019 » lorsque j’ai reçu un appel télé­pho­nique d’aver­tis­se­ment d’un médecin-agent de la CIA, spécia­liste des mala­dies infec­tieuses, le 4 janvier 2020. Il m’a demandé de travailler à la consti­tu­tion d’une équipe d’in­ter­ven­tion scien­ti­fique civile pour soute­nir la recherche de contre-mesures médi­cales finan­cées par le gouver­ne­ment améri­cain, comme je l’avais fait pour les épidé­mies précé­dentes. Comme d’ha­bi­tude, j’ai préparé une évalua­tion de la menace basée sur les infor­ma­tions dispo­nibles en janvier 2020, qui étaient forte­ment biai­sées par la propa­gande en prove­nance de Chine indi­quant que ce nouveau virus était haute­ment létal. Rétrospectivement, cette propa­gande a exagéré la menace réelle et semble avoir été conçue pour susci­ter la peur et des réac­tions exces­sives de la part des nations non chinoises. J’ai estimé que la mise au point de nouveaux médi­ca­ments et vaccins sûrs et effi­caces contre ce coro­na­vi­rus (appelé depuis SARS-CoV‑2) pren­drait beau­coup de temps, et que la recherche et le déve­lop­pe­ment phar­ma­ceu­tiques et biolo­giques initiaux devraient se concen­trer sur le repo­si­tion­ne­ment de médi­ca­ments exis­tants pour le trai­te­ment précoce de la mala­die causée par ce nouveau coro­na­vi­rus. J’ai réuni un groupe d’ex­perts qui a commencé à travailler, sur une base volon­taire, pour iden­ti­fier des médi­ca­ments repo­si­tion­nés pour le trai­te­ment de la mala­die, mais qui a fina­le­ment été financé par le minis­tère améri­cain de la Défense.

Parallèlement à nos acti­vi­tés, le NIH (et en parti­cu­lier le NIAID) a déve­loppé et propagé des proto­coles de trai­te­ment dans tous les États-Unis, en s’ap­puyant prin­ci­pa­le­ment sur la venti­la­tion méca­nique en milieu hospi­ta­lier pour assis­ter les personnes dont l’oxy­gé­na­tion sanguine est insuf­fi­sante, en combi­nai­son avec le médi­ca­ment toxique Remdesivir admi­nis­tré par voie intra­vei­neuse. Ces proto­coles ont été élabo­rés de manière non trans­pa­rente, sans consu­la­tions, sans commen­taires signi­fi­ca­tifs du public et sans l’ap­port de méde­cins prati­ciens indé­pen­dants, appa­rem­ment sous la forte influence et la surveillance d’un petit nombre de respon­sables gouver­ne­men­taux (prin­ci­pa­le­ment le Dr Anthony Fauci et son ancienne stagiaire, le Dr Deborah Birx).

Le déve­lop­pe­ment de produits vacci­naux utili­sant des plate­formes tech­no­lo­giques de théra­pie génique (adéno­vi­rus recom­bi­nant, pseudo-ARN non viral) a été spéci­fi­que­ment et exclu­si­ve­ment accé­léré par le gouver­ne­ment améri­cain, et les pratiques histo­riques de déve­lop­pe­ment clinique et non clinique et de régle­men­ta­tion ont été igno­rées, dans une quête de rapi­dité sous la pres­sion spéci­fique de l’exé­cu­tif dans le cadre d’un programme appelé “Operation Warp Speed”. Cette opéra­tion a été menée sous la justi­fi­ca­tion que le SARS-CoV‑2 repré­sen­tait une menace majeure pour la santé publique et la sécu­rité nationale.

Le déve­lop­pe­ment de médi­ca­ments et de stra­té­gies de trai­te­ment repo­si­tion­nés (tels que l’hy­droxy­chlo­ro­quine et l’iver­mec­tine) a d’abord été accé­léré, puis, para­doxa­le­ment, bloqué ou inhibé de manière agres­sive par les respon­sables des NIH, de la BARDA et de la FDA, appa­rem­ment en raison des exigences de la loi fédé­rale sur l’au­to­ri­sa­tion d’uti­li­sa­tion en cas d’ur­gence, qui stipule que l’ab­sence d’al­ter­na­tives dispo­nibles est une condi­tion préa­lable à l’oc­troi d’une auto­ri­sa­tion d’uti­li­sa­tion en cas d’ur­gence pour un nouveau produit (vaccin).

Le blocage du « trai­te­ment précoce » et/ou du « repo­si­tion­ne­ment des médi­ca­ments », ainsi que la promo­tion de vaccins géné­tiques présu­més (sans tests adéquats) « sûrs et effi­caces » ont été soute­nus par une campagne de censure et de propa­gande agres­sive et coor­don­née à l’échelle mondiale, avec un finan­ce­ment impor­tant (envi­ron 10 milliards de dollars US) fourni par le gouver­ne­ment améri­cain. Parallèlement à la campagne de vacci­na­tion mondiale soute­nue par l’OMS et les États-Unis, des variantes du SARS-CoV‑2 de plus en plus capables de contour­ner les réponses anti­corps induites par le vaccin sont appa­rues progres­si­ve­ment et à plusieurs reprises dans la popu­la­tion mondiale, confor­mé­ment à la pres­sion évolu­tive de la « sélec­tion natu­relle du plus apte » exer­cée par les réponses anti­corps induites par le vaccin.

Outre la suppres­sion, aux Etats-Unis et dans le monde entier (à l’ex­cep­tion notam­ment du Mexique), de l’uti­li­sa­tion rapide de trai­te­ments médi­ca­men­teux connus (souvent hors brevets) pour trai­ter les symp­tômes respi­ra­toires de la mala­die COVID-19, et l’im­por­tance dispro­por­tion­née accor­dée au déve­lop­pe­ment et au déploie­ment de vaccins géné­tiques, un certain nombre d’autres mesures contre-productives ont été prises au nom de la santé publique. La plupart d’entre elles, voire toutes, ont été calquées sur les mesures mises en œuvre par le PCC en Chine. Dans de nombreux cas, ces actions n’étaient aupa­ra­vant pas recom­man­dées par l’OMS ni les auto­ri­tés sani­taires natio­nales, mais ces poli­tiques ont été modi­fiées en réponse à la crainte du COVID-19. Il s’agis­sait notam­ment de « ferme­tures » arbi­traires, d’in­ter­dic­tions de rassem­ble­ment public, de port obli­ga­toire de masques à parti­cules qui n’étaient ni effi­caces ni conçus pour préve­nir la trans­mis­sion virale, de poli­tiques arbi­traires de « distan­cia­tion sociale » de six pieds [deux mètres], de ferme­tures d’écoles, de modi­fi­ca­tions des procé­dures médi­cales normales (tests de diag­nos­tic et évalua­tion, opéra­tions chirur­gi­cales non urgentes), de restric­tions de voyage, de passe­ports et de suivi des vaccins, ainsi que de nombreuses autres procé­dures simi­laires justi­fiées par des objec­tifs de « santé publique », mais qui n’étaient pas étayées par des preuves scien­ti­fiques établies.

Une grande partie de la réponse natio­nale améri­caine et mondiale a été gérée par les organes de sécu­rité natio­nale et le dépar­te­ment de la défense des États-Unis, agis­sant de concert avec le dépar­te­ment de la sécu­rité inté­rieure, et ces acti­vi­tés compre­naient un programme massif de propa­gande, d’opé­ra­tions psycho­lo­giques et de censure qui s’ins­cri­vait dans le cadre d’un programme harmo­nisé au niveau mondial en coor­di­na­tion avec l’Organisation mondiale de la santé, GAVI, CEPI, CDC, EMA et la BBC-Managed Trusted News Initiative pour restreindre l’ac­cès du public et contrer toute infor­ma­tion diffé­rente de celle approu­vée par l’OMS concer­nant le SARS-CoV‑2, le COVID, les proto­coles de trai­te­ment médi­ca­men­teux et la sécu­rité et l’ef­fi­ca­cité des vaccins. La diffu­sion de toute infor­ma­tion contre­di­sant les messages offi­ciels de l’OMS ou des CDC a été consi­dé­rée comme une infor­ma­tion erro­née ou malveillante et défi­nie comme un acte poten­tiel de terro­risme inté­rieur. Le gouver­ne­ment améri­cain, et de nombreuses agences fédé­rales améri­caines distinctes, ont colla­boré étroi­te­ment avec l’OMS, les grandes entre­prises de tech­no­lo­gie et de médias sociaux pour censu­rer et contrô­ler toutes les infor­ma­tions concer­nant le virus, les médi­ca­ments et les vaccins.

Les CDC ont joué un rôle de soutien aux déci­sions poli­tiques des NIH, du DHS et du DoD, contrai­re­ment aux épidé­mies précé­dentes où les NIH/NIAID se concen­traient sur la recherche clinique et le déve­lop­pe­ment précoce de produits, et les CDC sur la poli­tique de santé publique.

Comme l’ont reconnu le New York Times et des études internes du gouver­ne­ment, les CDC améri­cains se sont poli­ti­sés, en parti­cu­lier sous l’ad­mi­nis­tra­tion actuelle, et a acti­ve­ment occulté des infor­ma­tions de santé publique perti­nentes jugées comme présen­tant un risque d’exa­cer­ba­tion de « l’hé­si­ta­tion vaccinale ».

Au cours de l’épi­dé­mie actuelle, les CDC améri­cains n’ont pas rempli leur rôle tradi­tion­nel de collec­teur, d’ar­bitre et de rappor­teur neutre des données de santé publique. Les CDC ont admis, confron­tés à la loi sur la liberté de l’in­for­ma­tion, qu’ils n’avaient pas effec­tué le suivi, l’ana­lyse et la commu­ni­ca­tion obli­ga­toires des VAERS [décla­ra­tions d’ef­fets indé­si­rables] et des données rela­tives à la sécu­rité des vaccins. Par consé­quent, ni les patients, ni les méde­cins, ni les respon­sables de santé publique n’ont pu accé­der à des infor­ma­tions actua­li­sées concer­nant l’ef­fi­ca­cité et la sécu­rité des vaccins. Cela a compro­mis le proces­sus de consen­te­ment éclairé.

Les CDC ont acti­ve­ment promu et commer­cia­lisé la vacci­na­tion avec des produits non homo­lo­gués (auto­ri­sés en cas d’ur­gence), avec plus de 10 milliards de dollars US de fonds fédé­raux dépen­sés à la fois pour commer­cia­li­ser les produits et pour censu­rer ceux qui ont exprimé des inquié­tudes au sujet de la sécu­rité et de l’ef­fi­ca­cité des vaccins. Cette campagne de censure, de propa­gande et d’opé­ra­tions psycho­lo­giques a été plani­fiée à l’avance (événe­ment 201 financé par la Fondation Bill et Melinda Gates et la Fondation de l’éco­no­mie mondiale) et reste effec­tive encore aujourd’­hui, appa­rem­ment pour atté­nuer la menace du scep­ti­cisme à l’égard des vaccins, qui rédui­rait l’adop­tion et l’ac­cep­ta­tion de produits médi­caux expé­ri­men­taux non homo­lo­gués (auto­ri­sés en cas d’ur­gence) qui se sont révé­lés ni tota­le­ment sûrs ni effi­caces pour stop­per l’in­fec­tion, la répli­ca­tion ou la propa­ga­tion du virus SARS-CoV‑2.

La FDA, le NIH et les CDC (ainsi que l’OMS) ont coopéré pour restreindre, déva­lo­ri­ser et dépré­cier acti­ve­ment l’uti­li­sa­tion de plusieurs médi­ca­ments homo­lo­gués actuel­le­ment dispo­nibles pour le trai­te­ment du COVID-19 par des méde­cins prati­ciens agréés, et ont encou­ragé les repré­sailles contre les méde­cins qui ne suivaient pas les direc­tives de trai­te­ment établies et promues par le NIH — qui n’a ni mandat ni expé­rience préa­lable signi­fi­ca­tive dans le déve­lop­pe­ment et la mise en œuvre de direc­tives et de proto­coles de trai­te­ment univer­sels, et qui l’a fait de manière unila­té­rale sans cher­cher à obte­nir une contri­bu­tion signi­fi­ca­tive des méde­cins prati­ciens. À l’échelle natio­nale, sans tenir compte des fron­tières des États ni de la coor­di­na­tion avec les gouver­ne­ments des États, les NIH et les CDC ont acti­ve­ment colla­boré avec les médias d’en­tre­prise et les entre­prises de tech­no­lo­gie et de médias sociaux, qu’ils ont direc­te­ment payés, pour promou­voir les posi­tions et les poli­tiques de l’OMS et du gouver­ne­ment fédé­ral, et pour censu­rer toute discus­sion sur les poli­tiques, les risques, les effets indé­si­rables ou les options de trai­te­ment autres que celles qu’ils avaient approuvées.

Les diri­geants des NIH ont agi pour restreindre et exer­cer des repré­sailles contre des méde­cins et des scien­ti­fiques médi­caux indé­pen­dants et haute­ment quali­fiés qui ont remis en ques­tion les poli­tiques de gestion fédé­rales, notam­ment dans le cas de la Déclaration de Great Barrington et des prin­ci­paux auteurs de ce document.

Il existe des preuves, dans le cas de l’État de Floride et du gouver­neur Ron DeSantis, que le gouver­ne­ment fédé­ral améri­cain a inten­tion­nel­le­ment bloqué l’usage des anti­corps mono­clo­naux théra­peu­tiques, en guise de repré­sailles poli­tiques pour les poli­tiques de gestion de crise du COVID mises en œuvre par l’État de Floride qui n’étaient pas alignées sur les poli­tiques et les mandats du gouver­ne­ment fédé­ral. Le gouver­neur DeSantis et son médecin-chef, le Dr Joe Ladipo, avaient égale­ment mis en doute la sécu­rité et l’ef­fi­ca­cité des vaccins géné­tiques contre le SARS-CoV‑2 (COVID-19) dispo­nibles aux États-Unis.

Dans le cas des vaccins géné­tiques (ARNm et adéno­vi­rus recom­bi­nant vecto­risé), les données sont claires : ces produits n’offrent pas de protec­tion clini­que­ment signi­fi­ca­tive contre l’in­fec­tion, la répli­ca­tion et la propa­ga­tion des variantes virales du SARS-CoV‑2 actuel­le­ment en circu­la­tion. Ce constat est clair depuis l’ap­pa­ri­tion des variantes virales de type Omicron. En raison de la « fuite » de ces produits (en termes d’in­fec­tion virale), il n’existe pas de niveau d’adop­tion du vaccin par la popu­la­tion géné­rale permet­tant d’at­teindre une « immu­nité collec­tive » au Mexique ou dans le monde. En outre, les diri­geants de Pfizer ont reconnu qu’au moment du déploie­ment géné­ra­lisé dans la popu­la­tion mondiale, il n’exis­tait aucune donnée démon­trant que le produit vacci­nal à ARNm de Pfizer était effi­cace pour proté­ger contre l’in­fec­tion, ni qu’il serait utile pour obte­nir une « immu­nité collective ».

Au cours de l’an­née écou­lée, l’exis­tence du risque immu­no­lo­gique précé­dem­ment connu de « l’empreinte vacci­nale » a été bien docu­men­tée comme se produi­sant avec les vaccins géné­tiques COVID par plusieurs grandes équipes de recherche scien­ti­fique du monde entier. Ce phéno­mène s’ex­plique en partie par l’ad­mi­nis­tra­tion conti­nue de vaccins conçus à partir d’un seul anti­gène de pointe obtenu à partir de la souche histo­rique « Wuhan‑1 » du SARS-CoV‑2, qui a depuis long­temps été supplan­tée par des variantes virales plus modernes résis­tantes au vaccin. Parallèlement à ces résul­tats scien­ti­fiques, les données de la Cleveland Clinic (États-Unis) et les bases de données du monde entier ont démon­tré que plus le nombre de doses de ces « vaccins géné­tiques » admi­nis­trées à un patient est élevé, plus ce dernier risque de déve­lop­per une infec­tion clini­que­ment signi­fi­ca­tive (COVID hospi­ta­lisé) — voire de mourir. La vacci­na­tion ne prévient pas la mala­die ou le décès en milieu hospi­ta­lier, et les données actuelles indiquent que la vacci­na­tion répé­tée augmente le risque de mala­die ou de décès en milieu hospi­ta­lier. Les vaccins « de rappel » actuel­le­ment dispo­nibles semblent exacer­ber les dommages cliniques asso­ciés à l’empreinte immunitaire.

Je vais main­te­nant parler de l’in­no­cuité de ces « vaccins » géné­tiques qui, contrai­re­ment aux vaccins homo­lo­gués plus tradi­tion­nels, ne préviennent pas l’in­fec­tion, la répli­ca­tion, la trans­mis­sion à d’autres personnes, la mala­die ou le décès dus au virus contre lequel ils sont diri­gés. Malgré l’ab­sence de tests d’in­no­cuité adéquats au cours des phases de déve­lop­pe­ment précli­nique et clinique, les risques d’in­no­cuité deviennent égale­ment beau­coup plus clairs.

Les meilleures esti­ma­tions actuelles de l’in­ci­dence des lésions cardiaques clini­que­ment signi­fi­ca­tives (myocar­dite, péri­car­dite) chez les jeunes hommes sont d’en­vi­ron un cas pour deux mille doses de vaccin admi­nis­trées, avec un risque cumu­la­tif addi­tif pour les personnes vacci­nées plusieurs fois. Certaines études ont indi­qué que jusqu’à la moitié des personnes vacci­nées présentent un certain degré d’at­teinte cardiaque. La liste des risques cliniques supplé­men­taires asso­ciés aux vaccins géné­tiques à base de Spike est assez longue, notam­ment les acci­dents vascu­laires céré­braux, la mort subite, la coagu­la­tion patho­lo­gique du sang, et les risques pour la procréa­tion sont parti­cu­liè­re­ment inquié­tants. Ces risques pour la procréa­tion comprennent des alté­ra­tions de la mens­trua­tion, mais, selon un cadre supé­rieur de Pfizer impli­qué dans les stra­té­gies globales de vaccins à ARNm, ils peuvent inclure des dommages à l’axe hypothalamique/hypophysaire/surrénalien/gonadique (c’est-à-dire le système endo­cri­nien). En outre, il semble que des dommages non spéci­fiques soient causés au système immu­ni­taire de patients rece­vant des doses répé­tées, comme le démontrent les risques docu­men­tés de réac­ti­va­tion d’une variété de virus ADN latents — EBV, VZV (zona) par exemple — et les données émer­gentes suggé­rant des risques élevés de certains cancers post-inoculation.

Pratiquement, tous ces risques semblent asso­ciés à l’in­fec­tion virale SARS-CoV‑2 dans une certaine mesure, mais les données indiquent qu’ils sont plus fréquents et plus graves chez les personnes ayant reçu les produits du vaccin géné­tique. Le gouver­ne­ment améri­cain et d’autres orga­ni­sa­tions offi­cielles et non offi­cielles ont eu recours à la propa­gande et à la censure pour suppri­mer l’ac­cès du public à l’in­for­ma­tion sur ces risques, ce qui a eu pour effet de ne pas permettre aux patients de comprendre les risques de la vacci­na­tion (et les limites de son béné­fice), et d’empêcher ainsi le consen­te­ment éclairé des personnes qui acceptent ou sont contraintes de prendre ces produits.

En raison de l’empressement à déve­lop­per et à déployer les vaccins géné­tiques COVID, les proprié­tés phar­ma­co­lo­giques clés de ces produits n’ont pas été bien carac­té­ri­sées avant leur déploie­ment mondial, notam­ment la phar­ma­co­dis­tri­bu­tion (où vont-ils dans le corps), la phar­ma­co­ci­né­tique (ce que le corps fait au médi­ca­ment) et la phar­ma­co­dy­na­mique (ce que le médi­ca­ment fait au corps). Parmi les nombreuses études et données initia­le­ment défi­cientes figurent des études visant à déter­mi­ner combien de temps le pseudo-ARNm synthé­tique reste dans le corps, où il va dans le corps, quelle quan­tité d’an­ti­gène protéique (« Spike ») il fait fabri­quer par le corps d’un patient, et combien de temps cette protéine reste dans le corps.

Les messages initiaux et les docu­ments de marke­ting four­nis aux méde­cins, aux patients et au grand public indi­quaient que le pseudo-ARNm synthé­tique se dégra­dait dans l’or­ga­nisme en quelques heures et que les risques d’ef­fets indé­si­rables étaient donc de courte durée. On sait main­te­nant que le pseudo-ARNm synthé­tique persiste dans l’or­ga­nisme pendant des semaines, voire plusieurs mois, et que les taux de protéine Spike (la protéine Spike du SARS-CoV‑2 est une toxine connue) produits par les produits du « vaccin » géné­tique sont nette­ment plus élevés et se main­tiennent plus long­temps dans l’or­ga­nisme et le sang que les taux produits par une « infec­tion natu­relle » typique du virus du SARS-CoV‑2. On sait aussi main­te­nant que les parti­cules de pseudo-ARNm « nano­plex lipi­diques » circulent dans l’or­ga­nisme pendant une période prolon­gée et peuvent être sécré­tées dans le lait mater­nel des mères qui allaitent. La toxi­co­lo­gie repro­duc­tive et la géno­toxi­cité (effets sur le génome humain) des vaccins géné­tiques, y compris les produits synthé­tiques à base de pseudo-ARNm, restent actuel­le­ment mal carac­té­ri­sées, peu claires et très controversées.

Comme le disent si bien les National Institutes of Health (NIH) améri­cains, « la carac­té­ri­sa­tion de la rela­tion entre la phar­ma­co­ci­né­tique (PK, concen­tra­tion en fonc­tion du temps) et la phar­ma­co­dy­na­mique (PD, effet en fonc­tion du temps) est un outil impor­tant dans la décou­verte et le déve­lop­pe­ment de nouveaux médi­ca­ments dans l’in­dus­trie phar­ma­ceu­tique. » Lorsqu’il s’agit de mettre au point des trai­te­ments médi­ca­men­teux effi­caces, il est extrê­me­ment impor­tant que les entre­prises phar­ma­ceu­tiques et les pres­crip­teurs disposent de données précises concer­nant le dosage et l’ef­fet phar­ma­co­dy­na­mique. Ces données essen­tielles doivent être tirées des études cliniques et non cliniques menées avant l’ap­pro­ba­tion, afin de déter­mi­ner la dose appro­priée qui sera fina­le­ment admi­nis­trée aux patients. Dans le cas des vaccins géné­tiques COVID, la carac­té­ri­sa­tion normale de ces carac­té­ris­tiques clés a été igno­rée, dans la préci­pi­ta­tion à déve­lop­per puis à admi­nis­trer des produits biolo­giques qui se sont avérés ni sûrs ni effi­caces à une popu­la­tion mondiale dans le but d’at­té­nuer l’im­pact d’un agent patho­gène fabri­qué en labo­ra­toire qui a prouvé qu’il provo­quait des symp­tômes de mala­die qui peuvent large­ment être trai­tés par l’ad­mi­nis­tra­tion rapide de médi­ca­ments exis­tants connus.

Il y a près de 500 ans, le méde­cin et chimiste suisse Paracelse a exprimé le prin­cipe de base de la toxi­co­lo­gie : « Tout est poison et rien n’est sans poison ; seule la dose fait qu’une chose n’est pas un poison. » Aujourd’hui, nous dirions simple­ment « trop d’une bonne chose… ». Vous compre­nez pour­quoi il est extrê­me­ment impor­tant de comprendre le dosage exact, les effets secon­daires, l’in­ten­sité et la durée pendant laquelle un patient peut utili­ser un médi­ca­ment ou un vaccin spéci­fique afin de maxi­mi­ser les effets béné­fiques tout en mini­mi­sant les toxi­ci­tés asso­ciées. Pendant la panique mondiale et la peur fabri­quée du COVID, aux États-Unis, la sagesse de siècles de déve­lop­pe­ment phar­ma­ceu­tique et les pratiques de santé publique établies ont été écar­tées dans une course folle pour déve­lop­per et déployer des vaccins tout en suppri­mant l’uti­li­sa­tion rapide de trai­te­ments médi­ca­men­teux peu coûteux, hors brevet, qui se sont avérés effi­caces pour préve­nir les hospi­ta­li­sa­tions et les décès.

Contrairement à la réac­tion des États-Unis et de nombreux autres gouver­ne­ments occi­den­taux (notam­ment le Canada, le Royaume-Uni, la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Autriche et une grande partie de l’Union euro­péenne), le gouver­ne­ment mexi­cain a adopté une atti­tude beau­coup plus permis­sive en matière de santé publique au cours des trois dernières années, et il est devenu connu dans le monde entier comme un havre de santé publique dans un monde où la peur irra­tion­nelle fait rage.

Pour l’ave­nir, sous le prétexte falla­cieux que l’Organisation mondiale de la santé a géré effi­ca­ce­ment la crise mondiale du COVID, des efforts sont actuel­le­ment déployés pour modi­fier le Règlement sani­taire inter­na­tio­nal et les enga­ge­ments finan­ciers natio­naux en faveur de l’OMS afin d’ac­croître le finan­ce­ment et de renfor­cer l’au­to­rité et le pouvoir de l’OMS en matière d’in­ter­ven­tion dans les affaires inté­rieures de nations souve­raines, en cas d’ur­gence de santé publique auto-déclarée.

Ces poli­tiques et révi­sions sont basées sur des propo­si­tions élabo­rées il y a un an et soumises par les États-Unis et leur dépar­te­ment de la santé et des services sociaux, qui ont été large­ment reje­tées par un consor­tium d’États afri­cains et latino-américains, en grande partie en raison de préoc­cu­pa­tions concer­nant la perte de souve­rai­neté natio­nale. Face à ces objec­tions, la discus­sion et l’ac­tion ont été repor­tées à ce moment-là pour être discu­tées ulté­rieu­re­ment, et le réexa­men des modi­fi­ca­tions poten­tielles est actuel­le­ment en cours. En théo­rie, ce qui est proposé permet­trait à l’OMS de défi­nir et d’ap­pli­quer des poli­tiques mondiales en réponse à une future crise de santé publique, et de passer outre les poli­tiques natio­nales en cas de pandé­mie décla­rée ou d’un autre événe­ment défini par le direc­teur géné­ral de l’OMS. L’intention est que ces modi­fi­ca­tions aient le poids d’un traité inter­na­tio­nal, bien que l’on ne cherche pas à obte­nir l’ap­pro­ba­tion offi­cielle des États membres.

Selon mon opinion person­nelle et mon témoi­gnage, l’ex­pé­rience de la nation souve­raine du Mexique dans sa gestion de la crise du COVID démontre clai­re­ment qu’il n’est pas dans l’in­té­rêt du Mexique ou d’autres nations souve­raines et indé­pen­dantes de céder le contrôle natio­nal de la santé publique à l’Organisation mondiale de la santé, à l’Organisation mondiale du commerce, à la Pan American Health Organization ni à tout autre orga­nisme inter­na­tio­nal à l’heure actuelle. La mauvaise gestion et la réac­tion exces­sive du gouver­ne­ment améri­cain et de l’OMS, clai­re­ment arbi­traires et fantai­sistes, à la crise du COVID, à la variole du singe et à de nombreuses autres épidé­mies de mala­dies infec­tieuses dans le passé, démontrent que ni les États-Unis ni l’OMS n’ont la matu­rité et les capa­ci­tés orga­ni­sa­tion­nelles pour méri­ter qu’on leur fasse confiance et qu’on concède à ces orga­ni­sa­tions la souve­rai­neté du Mexique en matière de santé publique.

En revanche, pendant la crise du COVID, le Mexique a fait preuve d’un équi­libre et d’une matu­rité remar­quables dans sa réponse à cet événe­ment. Je suggère que les personnes respon­sables de l’orien­ta­tion de la réponse mexi­caine en matière de santé publique soient iden­ti­fiées et récom­pen­sées, et que le Mexique conti­nue à main­te­nir son histoire de souve­rai­neté natio­nale, de matu­rité et de ratio­na­lité équi­li­brée dans sa réponse à de futurs événe­ments simi­laires de santé publique. ⚪️

Les liens vers des sources confir­mant les points de vue expri­més ici se trouvent dans mes articles Coronavirus - discussion et CoVID-19 : vaccins.

Le soutien impli­cite que j’ap­porte aux points de vue d’émi­nents scien­ti­fiques nord-américains ne s’étend pas à leurs opinions poli­tiques, philo­so­phiques ou religieuses.

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Article créé le 2/03/2023 - modifié le 2/07/2024 à 06h47

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