🔵 Dr Robert Malone, MD, MS
Source : H5N1 : Truth Over Fearporn — 18 mars 2024N1
⚪️ Instrumentaliser la peur de la maladie pour faire avancer les politiques publiques, c’est du bioterrorisme psychologique.
Définition du chantage à la peur
Le chantage à la peur [fearporn] fait référence au contenu des médias grand public qui joue délibérément et de manière séduisante sur les peurs des gens concernant les catastrophes, les maladies et la mort. Ce terme est souvent utilisé pour décrire des reportages ou des histoires sensationnelles et exagérées qui visent à provoquer de fortes réactions émotionnelles, telles que la peur, l’anxiété ou l’indignation. Ce type de contenu peut être trouvé dans diverses formes de médias, y compris les actualités, les médias sociaux et les articles en ligne.Certaines définitions du chantage à la peur incluent également l’idée qu’il est utilisé pour manipuler les émotions et l’attention des gens, souvent dans le but d’augmenter le nombre de téléspectateurs, l’engagement ou les clics. Le chantage à la peur peut être considéré comme une forme de manipulation psychologique, car il exploite les réactions naturelles de peur des gens pour créer un sentiment de drame ou d’excitation.
Dans certains cas, le terme « chantage à la peur » peut également être utilisé pour décrire des théories du complot ou des informations erronées diffusées en ligne, souvent dans le but de susciter la peur, l’anxiété ou l’indignation. Ce type de contenu peut être particulièrement nuisible, car il peut diffuser des informations erronées et perpétuer des stéréotypes ou des préjugés pernicieux.
Globalement, le terme « chantage à la peur » est utilisé pour décrire un type de contenu médiatique qui utilise la peur et le sensationnalisme pour attirer l’attention du public et manipuler ses émotions.
Réponse générée par l’IA à la requête de recherche sur Brave : « Définition du chantage à la peur ».
La définition ci-dessus est proche, mais passe à côté du rôle de diverses parties prenantes dans l’écosystème du chantage à la peur. Dans le cas de l’instrumentalisation de la peur des maladies infectieuses pour faire avancer des programmes cachés relatifs à la « santé publique » et pour manipuler le consensus des citoyens et des électeurs, ces parties prenantes comprennent un large éventail d’organisations gouvernementales (État), non gouvernementales, d’entreprises et d’acteurs transnationaux.
Les organisations du gouvernement fédéral américain qui instrumentalisent régulièrement la peur et l’anxiété liées aux maladies infectieuses pour manipuler l’opinion publique sont notamment la Maison Blanche (en particulier l’Office of Science and Technology Policy, OSTP), la « communauté du renseignement » américaine (18 agences et organisations, dont la Central Intelligence Agency, CIA), le Federal Bureau of Investigation (FBI), la National Security Agency (NSA) et la Defense Intelligence Agency, DIA), le Department of Homeland Security et, bien entendu, les services du Department of Health and Human Services qui comprennent le CDC [Center for Disease Control and Prevention], la FDA [Food and Drug Administration] et l’ASPR/BARDA [Administration for Strategic Preparedness and Response/Biomedical Advanced Research and Development Authority].
Parmi les organisations non gouvernementales qui pratiquent régulièrement cette pratique, citons la Fondation Gates, les Nations unies, la Fondation économique mondiale et, bien sûr, l’Organisation mondiale de la santé.
Pour ce qui est de l’Union européenne, les gouvernements nationaux, le CDC européen et divers instituts associés à l’Agence européenne des médicaments (EMEA) ont régulièrement recours au nudge et au chantage à la peur pour obtenir le soutien des politiques publiques en matière de maladies infectieuses.
Ayant vécu la crise du COVID, il n’est pas nécessaire de chercher longtemps pour trouver de nombreux exemples de membres influents de l’industrie pharmaceutique promouvant le chantage à la peur par le biais d’une grande variété de contenus sponsorisés et influencés, généralement en association avec des méthodes de guerre psychologique auparavant réservées aux services de renseignement gouvernementaux et aux organisations militaires. Cette pratique est en train de devenir une composante habituelle des efforts de « marketing » de l’industrie pharmaceutique. L’un des nombreux exemples de cette nouvelle donne est l’utilisation d’organisations sponsorisées (par exemple, “Shots Heard Round the World”) et de pseudo-services de “Medical News” qui se livrent à du crowdstalking [harcèlement de foule] et à des activités plus traditionnelles de bot farm/Trollery [usines à trolls]. N’oubliez pas que les programmes de parrainage massif des médias par les grandes sociétés pharmaceutiques ne visent pas toujours à promouvoir directement un médicament ou un produit biologique, mais ont également pour but de décourager toute couverture défavorable des produits ou de l’industrie par l’organe de presse parrainé. Dans le premier cas, il s’agit d’une action manifeste, dans le second, d’une action beaucoup plus discrète.
Ce type de dynamique s’étend aux petits médias alternatifs et aux podcasters qui acceptent des accords de parrainage avec des entreprises vendant des produits nutraceutiques alternatifs. Tout comme les grands médias, il n’est pas question pour les petits acteurs en difficulté de mordre la main qui les nourrit de maigres miettes alors qu’ils seraient autrement affamés.
INSTRUMENTALISER ET PROMOUVOIR LA PEUR D’UNE MALADIE INFECTIEUSE À DES FINS POLITIQUES OU FINANCIÈRES EST TOUT À FAIT CONTRAIRE À L’ÉTHIQUE.
Veuillez vous joindre à moi pour condamner cette pratique. Elle a été rendue normale pa des milliers de publications scientifiques évaluées par des pairs, l’estimant nécessaire pour vaincre « l’hésitation vaccinale » et pour faire avancer divers programmes de santé publique au nom de l’intérêt général. Cette pratique constitue une violation des principes fondamentaux de la bioéthique, une violation de la confiance du public ; ceux qui pratiquent ces méthodes doivent être largement dénoncés comme les véritables pourvoyeurs de fausses informations et d’informations erronées. Instrumentaliser et promouvoir la peur des maladies infectieuses est littéralement, et de manière transparente, une forme de bioterrorisme psychologique.
Les virus de la grippe aviaire A n’infectent généralement pas l’homme ; toutefois, plusieurs cas d’infection humaine et de flambées épidémiques ont été signalés depuis 1997.
Je mets cette image à la disposition de ceux qui affirment sans cesse que les virus n’existent pas, ce qui, dans certains cas, peut être un autre exemple des techniques de guerre psychologique déployées pour délégitimer les groupes qui s’opposent aux récits actuellement promus/approuvés.
Les virus existent. En tant qu’étudiant diplômé, j’ai personnellement participé à l’isolement, à la purification et à la caractérisation génétique des virus de la grippe et des protéines qu’ils produisent, ainsi que des rétrovirus. En tant qu’étudiant de premier cycle, j’ai également isolé, amplifié, purifié et manipulé des virus bactériens communément appelés « bactériophages ».
À titre de comparaison avec la grippe, et pour ceux qui prétendent qu’il n’existe pas de virus du SARS-CoV‑2, voici une micrographie électronique colorisée d’un virus du SARS-CoV‑2. La grippe et le SARS-CoV‑2 sont tous deux des virus à ARN enveloppés, bien que les coronavirus aient un seul génome à ARN et que la grippe ait un génome à segments multiples qui permet le « déplacement » des sérotypes en raison du réassortiment de ces segments dans les cellules infectées par deux sérotypes différents de virus de la grippe, pour donner un virus de la grippe qui combine des aspects des deux virus parentaux, un peu comme le réassortiment chromosomique dans les cellules animales et végétales (eucaryotes). Dans de rares cas, il peut y avoir une recombinaison entre les « brins » du virus de la grippe, comme cela se produit dans les cellules eucaryotes.
Il est évident, pour quiconque prête attention et ouvre les yeux, qu’il existe actuellement une campagne active, soutenue et continue visant à instrumentaliser la peur de la « grippe aviaire », également connue sous le nom de virus grippal H5N1.
L’une des questions importantes liées à cette campagne est de savoir quels sont les objectifs cachés de cette propagande des pays occidentaux et de l’OMS. Comme c’est souvent le cas, il convient d’envisager plusieurs hypothèses de travail, et il est évident que de nombreux objectifs différents peuvent être soutenus en même temps. Ceux qui aspirent à délégitimer la discussion sur ces questions, en d’autres termes ceux qui aspirent à fermer la fenêtre d’Overton du discours autorisé, les qualifieront de « théories du complot ».
Cependant, après quatre années de mensonges gouvernementaux et de mensonges de l’OMS/ONU/FEM sur la crise du COVID (et les traitements et prophylaxies qui ont été promus), l’accusation de « théorie du complot » a fait long feu. Ce terme, qui a été activement instrumentalisé et déployé par l’Intelligence Community des États-Unis (IC) pour manipuler la fenêtre d’Overton depuis au moins l’assassinat du président John F. Kennedy, a perdu beaucoup de son pouvoir en raison d’une surutilisation chronique. Il sert surtout, aujourd’hui, à identifier les sujets de discussion interdits. Il en va souvent de même pour les « initiatives » de l’IC. Si souvent que les conséquences involontaires ou imprévues des actions maladroites de l’IC ont un terme spécial : “Blowback” (retour de flamme).
Quelles sont donc les « hypothèses alternatives » qui peuvent être mises en avant par la promotion et le déploiement de la propagande du chantage à la peur du H5N1 ?
- Tout d’abord, le vote sur l’initiative de l’Organisation mondiale de la santé (et de l’administration Biden), visant à désigner et à habiliter l’OMS à devenir le gestionnaire mondial désigné et autorisé des futures « crises » de santé publique, aura lieu le mois prochain. Dans le cadre de cette initiative, les dirigeants de l’OMS (et en particulier le directeur général) auront le pouvoir de désigner unilatéralement une crise de santé publique pour à peu près tout ce qu’ils souhaitent — et, ce qui n’est pas une coïncidence, conféreront à l’OMS une expansion budgétaire massive. Cette initiative est communément connue sous le nom de Traité mondial de l’OMS sur les pandémies (ou « accord », afin d’éviter le contrôle des traités par le Sénat américain). Il s’agit de l’un des deux volets de la tentative actuelle d’étendre le pouvoir de cette organisation mondialiste, l’autre étant la modification du « règlement sanitaire international », également proposée à l’origine par le ministère de la santé de M. Biden. Tout cela est enveloppé dans un langage de justification et d’autorisation impliquant l’initiative “One Health” qui aspire à relier la santé (et les « droits » en matière de santé) de toutes les espèces sur la Terre. Nous avons déjà vu l’instrumentalisation du chantage à la peur en matière de santé publique pour faire avancer cet agenda dans le contexte de la « variole du singe », ainsi que de la « maladie X ». Le virus H5N1 constitue une cible presque parfaite pour faire avancer la logique de l’agenda « une seule santé », car il s’agit principalement d’une infection des oiseaux, mais il a été démontré qu’il n’infectait que rarement le bétail et aussi rarement l’homme. De nombreux virus peuvent être génétiquement retracés jusqu’à des ancêtres végétaux et/ou bactériens, souvent suivis d’ancêtres insectes, et les virus peuvent donc être utilisés pour démontrer qu’une planification adéquate des pandémies et une atténuation des risques devraient remonter jusqu’aux plantes.
- Intérêts des agences commerciales et gouvernementales. Il existe actuellement un vaccin H5N1 autorisé par la FDA (fabrication sur cellules, au cas où l’approvisionnement en œufs serait compromis par la grippe aviaire). Il est fabriqué dans une installation construite par Novartis et financée par l’ASPR/BARDA (Assistant Secretary for Preparedness and Response, Biomedical Advanced Research and Development Authority). Cette installation, qui a coûté plus d’un milliard de dollars, est située à Holly Springs, en Caroline du Nord. Après l’expiration du contrat de vaccin antigrippal à base de cellules conclu par la BARDA avec Novartis, l’installation et les produits qui y sont fabriqués ont été vendus à perte par Novartis à la société australienne Sequirus, car Novartis a constaté qu’il n’y avait aucun profit à en tirer et a décidé de se retirer du secteur des vaccins contre les maladies infectieuses. Sequirus a maintenant un « contrat de stock » pour le vaccin H5N1 AUDENZ. Cela signifie qu’elle est payée par son unique client, HHS/ASPR/BARDA, pour produire le produit qui sera placé dans un « stock » du gouvernement américain en vue d’une utilisation future potentielle. Et bien sûr, le produit a une durée de conservation, ce qui signifie que l’ancien vaccin doit être jeté et qu’un nouveau vaccin doit être produit (plus de profit ! une grande vache à lait !) toutes les quelques années. Il est évident que Sequirus a un intérêt financier dans toutes les activités qui aboutissent à la possibilité de déployer AUDENZ dans le cadre d’une campagne de vaccination généralisée (potentiellement obligatoire). Il en va de même pour la bureaucratie de parrainage connue sous le nom de HHS/ASPR/BARDA.
- Universitaires, médecins, prestataires de soins médicaux, entreprises pharmaceutiques et ONG spécialisées dans les maladies infectieuses. Tout comme la crise du coronavirus SARS-CoV‑2 a été extrêmement lucrative pour un large éventail d’universitaires, de médecins, de sociétés pharmaceutiques et d’organisations non gouvernementales de niveau inférieur (ainsi que pour le nouveau complexe industriel de la censure), toutes ces parties prenantes aux initiatives liées à la biodéfense bénéficieraient grandement de la poursuite de la promotion de la peur du public à l’égard de la « grippe aviaire ».
- Manipulation électorale. Il est indéniable qu’avec la dernière élection présidentielle américaine et la crise du COVID, les épidémies de maladies infectieuses virales ont été instrumentalisées pour justifier le déploiement à grande échelle des bulletins de vote par correspondance, avec toutes les manipulations que permet cette approche des élections.
Examinons brièvement et vérifions certains des arguments de propagande couramment utilisés.
- Le virus H5N1 est hautement létal pour l’homme. Très trompeur. Le taux de létalité du H5N1, également appelé taux de mortalité humaine due au H5N1, est le rapport entre le nombre de décès humains confirmés résultant de cas confirmés de transmission et d’infection par le H5N1 et le nombre de ces cas confirmés. Les statistiques actuellement instrumentalisées et souvent répétées sur le CFR [taux de létalité] du H5N1 reflètent une forme de biais d’échantillonnage, dans la mesure où seules les personnes présentant des symptômes inhabituellement sévères du virus des voies respiratoires supérieures se présentent généralement au personnel médical ou dans les hôpitaux pour un diagnostic et un traitement. Ces personnes ont généralement été exposées au virus à un degré anormalement élevé (ce qui a eu pour effet de neutraliser les réactions immunitaires naturelles) ou souffrent d’une maladie préexistante qui les rend plus vulnérables à la maladie associée au virus. Une situation similaire s’est présentée au début (2020) de l’évaluation du taux de létalité pour le SARS-CoV‑2, qui a été modélisé (sur la base de ce type d’erreur d’échantillonnage) comme étant létal à plus de 30 %. Nous savons aujourd’hui que le véritable taux de létalité du SARS-CoV‑2 pour tous les arrivants est de l’ordre de 0.02 à 0.001 %.
- Selon diverses sources, dont l’OMS, la FDA et l’ECDC, le taux de létalité global du H5N1 serait de l’ordre de 50 à 60 %. Toutefois, ce taux peut varier en fonction du pays, de l’âge et d’autres facteurs. Par exemple, une étude a révélé que le taux de létalité le plus élevé (76 %) était observé chez les personnes âgées de 10 à 19 ans, tandis que le taux de létalité le plus bas (40 %) était observé chez les personnes âgées de plus de 50 ans.
- Il convient également de noter que la sous-déclaration est un sujet de préoccupation, en particulier en Chine, ce qui peut affecter la précision du taux de létalité. En outre, l’OMS a signalé que l’estimation officielle du taux de mortalité du virus H5N1 a été décrite par certains comme une surestimation, peu en rapport avec le taux qui serait rencontré dans des conditions de pandémie.
- Voici quelques exemples spécifiques de taux de létalité mentionnés dans les résultats de la recherche :
- Au 27 août 2015, 844 cas humains de H5N1 avaient été signalés dans le monde, dont 449 décès, ce qui donne un taux de létalité d’environ 53 %.
- Selon l’OMS, le taux de létalité (CFR) du H5N1 est d’environ 60 %.
- Une étude a révélé que le CFR du H5N1 était de 32 % au 11 août 2013.
- Une autre étude a fait état d’un CFR de 83 % en Indonésie et de 36 % en Égypte.
- Malgré des milliards de cas présumés chez les oiseaux et certaines vaches, moins de 900 cas de H5N1 ont été recensés, moins de 900 cas de H5N1 ont jamais été enregistrés chez l’homme !
- Le H5N1 est un nouveau virus. C’est faux. Bien que le clade H5N1 actuellement en circulation (l’un des quatre clades H5N1 dominants) ait quelque peu dérivé génétiquement par rapport aux versions antérieures, et qu’il soit associé à une épidémie chez les volailles (poulets) survenue en 2022, qui a entraîné la mort directe ou l’abattage d’un grand nombre de poulets destinés à l’alimentation, le H5N1 circule depuis des dizaines, voire des centaines d’années. Il infecte généralement (et continuera d’infecter) les oiseaux aquatiques migrateurs, notamment les oies et les canards. Ces oiseaux migrateurs produisent de grandes quantités de virus H5N1 dans leurs selles, et les virus de la grippe sont très stables dans l’eau. Par conséquent, pratiquement tous les animaux sauvages (et le bétail) qui s’abreuvent à des sources d’eau ouvertes fréquentées par les oiseaux aquatiques migrateurs seront exposés à des quantités significatives de H5N1. Cela peut donner lieu à des signaux PCR positifs pour l’ARN H5N1 qui n’ont rien à voir avec le fait que l’animal soit ou non infecté de manière productive, qu’il soit malade ou qu’il excrète un virus nouvellement répliqué.
- Le H5N1 est une menace pour les troupeaux de bovins, et les bovins infectés (et le lait) sont une menace pour la santé humaine. C’est faux. Un petit nombre de bovins infectés et présentant des symptômes ont été détectés, mais l’USDA [département de l’agriculture aux USA] n’a commencé que récemment à tester le H5N1 chez les bovins. On ne sait donc pas si cette situation dure depuis des décennies ou si les bovins sont une espèce hôte nouvellement acquise pour le H5N1. En général, les bovins peuvent développer une infection par le virus de la grippe avec des symptômes, mais les bovins en bonne santé éliminent généralement rapidement l’infection (comme les humains en bonne santé), en général en moins d’une semaine. La lactoferrine contenue dans le lait de vache, ainsi que la pasteurisation, les enzymes présentes dans la salive et l’acide chlorhydrique dans l’estomac, empêchent l’infection chez le consommateur, dans le cas où le bétail laitier serait infecté par le H5N1. À ce stade, nous devrions tous être sensibles au problème du surdiagnostic des maladies virales par l’utilisation inappropriée de tests PCR.
- Le virus H5N1 a été modifié à l’aide d’une méthodologie de gain de fonction afin d’infecter et de transmettre plus facilement le virus entre les mammifères, y compris potentiellement l’homme. C’est vrai. On oublie souvent que c’est la publication des résultats de la recherche sur le gain de fonction par deux laboratoires distincts qui a déclenché le moratoire temporaire initial sur la recherche sur le gain de fonction financée par le gouvernement fédéral américain. Deux laboratoires, le laboratoire Kawaoka de l’université du Wisconsin aux États-Unis et le laboratoire Fouchier du centre médical Erasmus aux Pays-Bas, ont décidé de tester expérimentalement si le virus H5N1 pouvait évoluer pour se transmettre de manière productive de mammifère à mammifère, et potentiellement d’homme à homme, en utilisant le modèle de transmission bien établi du furet. Les deux laboratoires, utilisant des approches différentes, ont pu isoler des virus susceptibles de se propager via des aérosols d’un furet à l’autre. La publication parallèle de leurs résultats en 2012, y compris les détails des mutations nécessaires pour permettre cette caractéristique, a suscité l’indignation et un débat sur la sagesse de la recherche sur le gain de fonction, ce qui a finalement conduit à un moratoire sous l’administration Obama, qui a été annulé par la suite. À ce stade, c’est presque un jeu d’enfant pour les mauvais acteurs de créer un H5N1 qui peut être facilement transmis par aérosol entre les mammifères. Je vous laisse imaginer et spéculer sur les nombreuses façons dont un tel virus pourrait être déployé pour faire avancer toute une série d’objectifs néfastes.
- Herfst S, Schrauwen EJ, Linster M, Chutinimitkul S, de Wit E, Munster VJ, Sorrell EM, Bestebroer TM, Burke DF, Smith DJ, Rimmelzwaan GF, Osterhaus AD, Fouchier RA. 2012. Airborne transmission of influenza A/H5N1 virus between ferrets (Transmission aérienne du virus de la grippe A/H5N1 entre furets). Science 336:1534–1541. doi : 10.1126/science.1213362. [Article gratuit PMC]
- Imai M, Watanabe T, Hatta M, Das SC, Ozawa M, Shinya K, Zhong G, Hanson A, Katsura H, Watanabe S, Li C, Kawakami E, Yamada S, Kiso M, Suzuki Y, Maher EA, Neumann G, Kawaoka Y. 2012. L’adaptation expérimentale d’un HA H5 de la grippe confère une transmission par gouttelettes respiratoires à un virus H5 HA/H1N1 réassorti chez les furets. Nature 486:420–428. doi : 10.1038/nature10831. [Article gratuit PMC].
Dans un prochain article de Substack, avec l’aide de mon amie et collègue le Dr Lynn Fynn MD (pseudonyme) pour la recherche et l’interprétation, je plongerai plus profondément dans l’histoire de la recherche sur le gain de fonction réalisée sur le virus de la grippe A. D’ici là, j’espère que cet essai contribuera à réduire l’anxiété que vous pourriez ressentir en raison de la peur instrumentalisée et promue du H5N1 qui est actuellement amplifiée par les gouvernements, l’OMS et une grande variété de médias dont l’éthique est mise à mal. ⚪️
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- N1 · l2cs · Malone, RW (18 May 2024). H5N1 : Truth Over Fearporn. Weaponizing disease fear to advance public policy agendas is psychological bioterrorism. Substack site “Who is Robert Malone”.
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Article créé le 19/05/2024 - modifié le 19/05/2024 à 12h46