Robert W Malone MD, MS
6 janvier 2024
Article traduit avec soin, mais dont le contenu technique est bien au-delà de mes compétences. Les commentaires de Robert Malone sont étiquetés « RWM ».
Source en anglais : Dr. Paul Offit MD, Vaccine Propagandist (Malone RW, 6 janvier 2024i92u).
⚪️ Une autre fenêtre sur le fonctionnement du “Mighty Wurlitzer” de la propagande. Lorsqu’on est confronté à une vérité qui dérange, on ment, on obscurcit ou on brutalise ceux qui ne sont pas d’accord.
Au cas où vous ne le sauriez pas, MedPage est une opération de marketing — synonyme : propagande — financée par l’industrie pharmaceutique, qui se présente comme une source objective de vérité médicale.
Le 5 janvier 2024, cet organe de propagande pharmaceutique a publié une interview vidéo du Dr Paul Offit, pédiatre universitaire professionnel et promoteur de vaccins, dans laquelle il énonce une série de faussetés dans la continuité de la manipulation et des mensonges pour lesquels lui-même et le Dr Peter Marks (FDA/CBER) sont de plus en plus connus.
Vidéo : Paul Offit réfute l’avertissement anti-vax du médecin-chef de Floride
- « Il est difficile de croire que le Dr Ladapo ait réellement fait cette déclaration », a déclaré un expert en vaccins
Jetons un coup d’œil à la transcription de cette série de mensonges.
Tout d’abord, en commençant par le titre, Paul Offit est-il réellement un expert en matière de vaccins ? Quelles ont été ses contributions ? Eh bien, il se présente comme le co-inventeur d’un vaccin homologué contre le rotavirus (l’un des nombreux vaccins homologués, et non le premier), et il a reçu d’importantes redevances à ce titre. Je devrais dire « vaccin à rotavirus actuellement homologué », car il existait déjà un vaccin à rotavirus (RotaShield – Wyeth) qui était associé à un niveau intolérable d’un syndrome clinique appelé « intussusception ». Si vous connaissez les chevaux, vous pouvez considérer l’intussusception comme une sorte de colique, mais qui survient le plus souvent chez les enfants. Plus précisément, l’intussusception est une affection dans laquelle un segment d’intestin se « télescope » à l’intérieur d’un autre, provoquant une obstruction intestinale (blocage). Pour une raison quelconque, les vaccins contre les rotavirus sont associés à l’intussusception. Celle-ci peut mettre la vie en danger. Le vaccin antirotavirus précédemment autorisé présentait un taux l’intussusception légèrement plus élevé que le vaccin actuel associé au Dr Paul Offit (et au Dr H. Fred Clark, le plus ancien des deux chercheurs). Cet essai détaille les événements entourant le retrait du RotaShield, y compris le rôle de Paul Offit lors de sa participation au Comité consultatif sur les pratiques de vaccination [Advisory Committee on Immunization Practices] des CDC [Centers for Disease Control and Prevention]. En principe, tous les enfants américains doivent recevoir, soit le vaccin de Paul Offit, soit un produit concurrent à base de virus vivant atténué. Selon les CDC :
Il existe également un faible risque d’intussusception lié à la vaccination contre le rotavirus, généralement dans la semaine qui suit la première ou la deuxième dose. Ce risque supplémentaire est estimé entre 1 sur 20 000 et 1 sur 100 000 nourrissons américains vaccinés contre le rotavirus.
Avec environ 3.66 millions de naissances par an aux États-Unis, cela signifie qu’il y a entre 36 et 180 cas d’intussusception mortelle par an aux États-Unis en raison de l’administration obligatoire de ce produit.
Le Dr Offit a co-inventé le vaccin antirotavirus « RotaTeq » de Merck. RotaTeq est un vaccin pentavalent oral vivant qui contient cinq souches de rotavirus produites par recombinaison virale. Les souches parentales de rotavirus A des recombinaisons virales ont été isolées à partir d’hôtes humains et bovins. Ce processus relève de la virologie classique et n’a rien à voir avec la technologie utilisée pour les vaccins à ARN messager modifié. D’après ses commentaires ci-dessous, comme cela semble être le cas pour le Dr Peter Marks de la FDA/CBER, il semble que le Dr Offit n’ait aucune expérience ni compréhension de la biologie moléculaire et cellulaire modernes, et en particulier de la transfection de l’ADN ou de l’ARNm et de son administration in vivo — via des nanoparticules cationiques auto-assemblées ou toute autre méthode telle que l’électroporation.
À la base, le Dr Offit est un vaccinologue de la vieille école, qui n’a apparemment ni la formation ni l’expérience de la virologie moléculaire moderne, de la technologie de thérapie génique ou des vaccins génétiques. C’est pourquoi il insiste sur le fait que ces produits sont apparentés aux vaccins de l’ancienne école, comme son produit vivant atténué. Malheureusement pour le Dr Offit et pour nous tous, la technologie est tout à fait différente, et a plus à voir avec la pharmacologie qu’avec la vaccinologie traditionnelle.
Voici une transcription annotée des commentaires du Dr Offit concernant la déclaration du Dr Joe Ladapo, telle que retranscrite par MedPage Today. Plongeons‑y pour découvrir ce que le Dr Offit comprend ou ne comprend pas dans cette controverse.
Paul Offit réfute l’avertissement anti-vax du médecin-chef de Floride
- « Il est difficile de croire que le Dr Ladapo a réellement fait cette déclaration », a déclaré l’expert en vaccins.
par Emily Hutto, productrice vidéo associée 5 janvier 2024
Emily Hutto a rejoint l’équipe de MedPage Today en 2021 en tant que productrice et rédactrice vidéo adjointe. Après avoir obtenu une licence en relations internationales à l’Université Colgate, elle a commencé à travailler à l’Université de Notre Dame (Go Irish!) avant de revenir à New York. Emily a été planificatrice d’événements, chercheuse, éducatrice scientifique et documentariste.
Le médecin-chef de Floride, Joseph Ladapo, MD, PhD, a récemment déclaré que les vaccins à ARNm COVID-19 ne devraient pas être utilisés. Dans cet entretien vidéo, Paul Offit, du Children’s Hospital of Philadelphia, discute de la déclaration de Ladapo et de la manière dont les vaccins sont fabriqués.
Voici la transcription des propos de Paul Offit :
« Le 3 janvier 2024, le médecin-chef de Floride, le Dr Joseph Ladapo, a lancé un avertissement selon lequel les médecins et les prestataires de soins de santé de cet État, la Floride, ne devraient pas utiliser les vaccins à ARNm. La raison en est qu’ils sont censés être contaminés par des fragments d’ADN <RWM : ils sont contaminés, pas censés l’être. Ce fait a été vérifié par de nombreux laboratoires et confirmé par la FDA, Santé Canada et l’EMA>. Ces fragments s’insèreraient dans l’ADN humain et pourraient provoquer des cancers tels que la leucémie ou le lymphome, des maladies auto-immunes ou d’autres problèmes. »
<RWM : Bien dit. Il se trouve que c’est précisément ce à propos de quoi les directives réglementaires de la FDA et les brevets de Moderna mettent en garde avec la contamination par l’ADN des vaccins ou des vaccins à base d’ADN ou de thérapie génique.>
« Est-ce donc possible ? Est-il possible que le Dr Ladapo ait raison et que, pour cette raison, nous devrions éviter les vaccins contenant de l’ARNm ? Pour répondre à cette question, il faut comprendre comment les vaccins à ARNm sont fabriqués. Commençons donc par le commencement. »
« La fabrication d’un vaccin à ARNm commence par un petit plasmide circulaire d’ADN, un ADN double brin, dans lequel est inséré le gène codant pour la protéine de pointe [spike] du SARS-CoV‑2. Ce plasmide est ensuite amplifié dans une bactérie — on coupe la bactérie, on libère le plasmide, puis on découpe ce petit morceau d’ADN. »
<RWM : Arrêtez tout de suite. C’est faux. On ne « découpe pas ce petit morceau d’ADN. » On purifie l’ADN plasmidique circulaire bactérien assez grand à partir d’un lysat bactérien, qui inclut par ailleurs une bonne partie de l’endotoxine. Ce processus de purification utilise la centrifugation. D’emblée, nous avons établi que le Dr Offit ne sait pas de quoi il parle. Offit n’a même pas pris le temps de comprendre le processus de fabrication utilisé dans ce cas.>
« Ensuite, on utilise une enzyme, l’ARN polymérase, pour transformer cet ADN en ARN messager. »
<RWM : L’ARN polymérase du bactériophage T7, pour être précis. Comme je l’ai fait à l’origine dans le premier article démontrant la fabrication à grande échelle, la purification et la transfection de l’ARNm à l’aide de lipides cationiques. Mais, au lieu d’inclure les bases A, U, G, C comme je l’ai fait, on utilise A, Pseudo‑U modifiée, G, C.>
« Il y a une diversité d’étapes de purification, il y a des étapes de filtration, il y a un traitement avec l’ADN ACE1, qui est une enzyme qui coupe l’ADN. »
<RWM : Encore une fois, c’est une erreur. Le traitement se fait par la DNase. Probablement une erreur de transcription, qui montre que le temps passé par Mme Hutto en tant que « chercheuse de laboratoire » ne s’est pas non plus traduit par une expérience en biologie moléculaire ou en virologie moléculaire.>
« Est-il donc possible qu’en dépit de la purification et de la filtration, il reste de petites quantités d’ADN fragmenté ? Oui, c’est possible. Vous avez environ un milliardième de gramme, des nanogrammes, de cet ADN fragmenté. »
<RWM : ce n’est pas une possibilité, c’est un fait. Encore de l’intoxication. Ou du négationnisme. Ou tout simplement de l’ignorance. Cette étape est un problème majeur dans le processus de purification, c’est pourquoi Moderna a déposé un brevet sur leur propre façon spéciale de le faire. Ce qui ne fonctionne toujours pas très bien. La quantité n’est pas le problème ici. La question est de savoir s’il existe un seuil de sécurité pour la contamination par des fragments d’ADN lorsqu’ils sont administrés par des nanoplexes de lipides cationiques auto-assemblés avec de l’ARNm modifié. Dans l’affirmative, montrez-nous les données qui prouvent qu’il s’agit d’un niveau de détérioration sûr. Joe a demandé à la FDA de lui montrer ces données, et le directeur du CBER de la FDA, Peter Marks, a répondu par des mensonges, des faussetés, de la manipulation et une absence totale de divulgation de ces données — qui apparemment n’existent pas. Cela ressemble beaucoup à l’approche utilisée ici par Offit.>
« Alors, cet ADN pourrait-il affecter votre ADN ? Pour que cela se produise, il faudrait que trois choses se produisent, qui sont pour la plupart impossibles. »
<RWM : C’est ici que cette interview bascule dans la puérilité et l’absurde. Le processus en question s’appelle la transfection de l’ADN. La transfection de l’ADN est une pratique de routine dans pratiquement tous les laboratoires de biologie moléculaire et cellulaire (et de virologie moléculaire) du monde. Voici un article, qu’Offit prétend connaître, qui montre qu’il est possible d’introduire de l’ADN dans le noyau de cellules post-mitotiques — c’est-à-dire qui ne se divisent pas — et qu’il produira de l’ARNm et des protéines. Des cellules musculaires. Même sans les nanoparticules de lipides cationiques. Cette étude a été citée des dizaines de milliers de fois. Elle a été publiée dans Science en 1990. J’étais le deuxième auteur. Je suis sidéré. Paul Offit est-il vraiment aussi ignorant ? Il est difficile d’imaginer que l’on ait fait confiance à cette personne pour donner des conseils à la FDA ou aux CDC sur ces produits mod-ARNm.>
« La première est que l’ADN doit pénétrer dans votre cytoplasme. Or, notre cytoplasme déteste l’ADN étranger et dispose d’une variété de mécanismes, y compris des mécanismes immunologiques innés et des enzymes, pour détruire l’ADN étranger. »
<RWM : Cette explication condescendante est partiellement vraie, mais substantiellement fausse. L’ADN transfecté pénètre dans le noyau des cellules mitotiques et post-mitotiques. Encore une fois, tous les étudiants de première année en biologie cellulaire et moléculaire ou en virologie le savent.>
« Ensuite cet ADN, qui n’aurait jamais survécu au cytoplasme, devrait traverser la membrane nucléaire pour pénétrer dans le noyau, ce qui nécessiterait un signal d’accès nucléaire que ces fragments d’ADN n’ont pas. »
<RWM : Il est de plus en plus difficile de distinguer les mensonges intentionnels de l’ignorance profonde. Les séquences du SV40 comprennent un signal de localisation nucléaire (NLS), mais un NLS n’est pas nécessaire pour la transfection de l’ADN. Tout étudiant de première année en biologie moléculaire et cellulaire le sait. L’ADN pénètre assez efficacement dans le noyau. Surtout avec l’électroporation. Mais il s’agit là d’un sujet avancé.>
« Même s’ils entraient dans le noyau, ce qui est impossible, ils devraient s’insérer dans votre ADN, ce qui signifie qu’ils devraient couper votre ADN, ce qui nécessiterait des enzymes comme les intégrases, qu’ils n’ont pas non plus. »
<RWM : Je ne sais pas par où commencer. Offit semble être complètement ignorant, comme un enfant, dans son manque de compréhension des bases de l’intégration, de la réplication de l’ADN et de la biologie cellulaire des mammifères.>
« Le risque que l’ADN affecte votre ADN est donc nul. »
<RWM : C’est de la pure propagande. Elle est contredite par des décennies de directives réglementaires de la FDA, par les propres brevets de Moderna, et par ce qui doit être des milliers de publications évaluées par des pairs concernant l’apport d’ADN (transfection) dans les cellules. Je ne peux que conclure qu’Offit est un menteur et un propagandiste sans vergogne. Juste pour le plaisir, j’ai effectué une recherche dans Pubmed sur la chaîne de mots clés « Plasmid DNA transfection », qui a donné plus de 26 000 références. Pour s’en convaincre, il suffit de cliquer sur ce lien.>
« Il est intéressant de constater que, dès que l’on évoque la notion d’ADN étranger, les gens prennent peur, n’est-ce pas ? Parce que l’ADN est le schéma directeur de la vie, et nous ne voulons certainement pas affecter nos schémas directeurs de vie. Mais on est exposé à de l’ADN étranger tout le temps. »
<RWM : Mais pas à des fragments d’ADN injectés, enveloppés et formulés à l’aide de la technologie non virale de transfert de gènes in vivo la plus efficace jamais découverte. Duh. Il ne peut s’agir que de manipulation. Offit ne peut pas être aussi stupide et/ou ignorant !>
« Premièrement, vous avez des billions de bactéries qui vivent sur votre corps, ce qui représente également de l’ADN étranger. En supposant que vous viviez sur cette planète et que vous mangiez des animaux ou des plantes de cette planète, vous ingérez de l’ADN étranger, dont une partie entre dans votre circulation — ce qui a été prouvé. »
<RWM : Cela n’a absolument rien à voir. Sauf que ces bactéries pourraient potentiellement absorber les séquences de résistance à l’antibiotique Kanamycine présentes dans les fragments d’ADN plasmidique qui sont injectés.>
« De même, tous les vaccins fabriqués dans des cellules, qu’il s’agisse du vaccin contre la rougeole, le vaccin contre les oreillons, le vaccin allemand contre la rougeole et la rubéole, le vaccin contre la varicelle, les vaccins contre les rotavirus, les vaccins contre la fièvre jaune — tout vaccin viral fabriqué dans des cellules contiendra des quantités résiduelles d’ADN de l’ordre du picogramme (qui correspond à 10-12 grammes) au nanogramme (qui correspond à 10-9 grammes). Il n’y a pas moyen d’éviter cela. »
<RWM : mais ces fragments d’ADN ne sont pas recouverts de nanoplexes lipidiques cationiques. Soyez réaliste, Paul. Êtes-vous vraiment aussi bête qu’une souche, ou jouez-vous simplement ce rôle ?>
« Je pense que nous devrions être rassurés par le fait que lorsqu’on fragmente cet ADN et qu’on l’a en quantités qui ne sont que des traces, sachant ce qu’on sait sur l’incapacité de ces traces d’ADN fragmenté à entrer dans le noyau et à causer des dommages, il est difficile de croire que le Dr Ladapo a réellement fait cette déclaration. »
<RWM : En fait, ce que vous avez prouvé avec vos déclarations ci-dessus, Dr Offit, c’est que c’est vous qui êtes difficile à croire. Quand avez-vous cessé de faire de la recherche en laboratoire ou même de superviser d’autres personnes ? Êtes-vous vraiment aussi ignorant ? Presque tous les arguments que vous avez avancés pour critiquer le Dr Ladapo se révèlent faux. Et pourrait être démontré faux par pratiquement n’importe qui ayant une expérience de la transfection, ou même une capacité rudimentaire à faire une recherche dans PubMed.>
« De manière paradoxale, il a dit que vous devriez utiliser d’autres vaccins COVID. L’autre vaccin COVID autorisé pour les personnes de plus de 12 ans dans ce pays est le vaccin de Novavax. Le vaccin de Novavax est également fabriqué dans des cellules. Il s’agit d’un vecteur d’expression appelé baculovirus. »
<RWM : Non, Paul, il ne s’agit pas d’un vecteur d’expression baculovirus. Une fois de plus, le Dr Offit révèle son ignorance fondamentale. Il s’agit d’un vaccin protéique purifié, formulé avec un nouvel adjuvant. Le composant protéique est produit dans des cellules d’insectes après infection par un virus recombinant d’insecte (chenille). Il s’agit d’un autre système que je connais et comprends parfaitement.>
« Le baculovirus contient le gène codant pour la protéine de pointe du SARS-CoV‑2. Il est ensuite infecté dans des cellules, appelées cellules Spodoptera frugiperda ou cellules Sf9, de sorte qu’il y a également de l’ADN résiduel. Il n’y a pas moyen de l’éviter. »
<RWM : Oui, il y a de l’ADN résiduel de cellules d’insectes. Mais il n’est pas enveloppé dans une nanoparticule de lipides cationiques auto-assemblés. Paul ne comprend tout simplement pas le point de vue de Joe, bien que le Dr Ladapo l’ait énoncé très clairement dans sa déclaration.>
« Il s’agit d’avoir des quantités si faibles et si fragmentées qu’elles ne peuvent pas être nocives. Il a donc été pénible de voir les gens s’effrayer inutilement de la sorte. J’espère que cela a été rassurant. »
<RWM : Et avec cette déclaration finale, nous apprenons que le Dr Paul Offit ne comprend pas les principes fondamentaux de la science réglementaire ni du droit réglementaire. La règle est que, s’il existe un risque potentiel impliquant un contaminant, des études doivent être menées pour démontrer que le niveau de contamination est inférieur au seuil de risque clinique démontrable pour les patients. Soumettre des déclarations de propagande fallacieuses et manifestement fausses n’est pas la même chose que de réaliser des études pour évaluer ce risque, à quel stade le risque se manifeste (seuil de toxicité), et s’il est démontré que le niveau de contamination autorisé est suffisamment inférieur à celui associé à la toxicité. C’est ainsi que les choses sont censées se passer. Toute personne expérimentée dans l’évaluation de la toxicité des médicaments le sait. Devons-nous imaginer que le Dr Paul Offit, « expert en vaccins », ne le sait pas ? Si c’est le cas, il n’a pas à conseiller la FDA ou les CDC sur quoi que ce soit en rapport avec le développement ou l’homologation des médicaments.>
À titre de suggestions utiles, le Dr Offit devrait prendre le temps de lire ce qui suit avant de se mettre dans l’embarras (et d’induire le public en erreur) :
Lignes directrices pour l’industrie : Considerations for Developmental Toxicity Studies for Preventive and Therapeutic Vaccines for Infectious Disease Indications
Ce n’est là qu’un aperçu de la situation.
Et pendant que j’y suis, voici une référence qui est particulièrement pertinente pour la situation actuelle de l’industrie des vaccins du Dr Offit :
Kesselheim, A. S. Permitting product liability litigation for FDA-approved drugs and devices promotes patient safety. Clin. Pharmacol. Ther. 87, 645–647 (2010). ⚪️
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Article créé le 8/01/2024 - modifié le 2/07/2024 à 06h41