Citoyenneté

Cancel Me, Baby!”

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Dr Jill Malone et Dr Robert Malone ont été inter­viewés par Taylor Ferber le 10 août 2023, dans lee cadre de son émis­sion “Cancel Me, Baby!”. Écouter l’in­té­gra­lité de l’en­tre­tien dans la vidéo ci-dessus.

Traduction d’ex­traits de cet entre­tien (voir la trans­crip­tion en anglais) :

⚪️ Taylor Ferber : Pat Benatar a dit un jour, de manière très poétique : « Frappez-moi de votre meilleur coup ». Et bien, devi­nez quoi ? Aujourd’hui, dans l’émis­sion Cancel Me, Baby, nous allons prendre cette phrase au pied de la lettre. D’accord ? J’ai donc avec moi un nom dont vous avez peut-être entendu parler, et si ce n’est pas le cas, je ne… Je ne sais vrai­ment pas où vous étiez et je ne veux pas le savoir. Mais nous avons un scien­ti­fique de renom­mée mondiale, un méde­cin, et l’ar­chi­tecte de la tech­no­lo­gie des vaccins à ARNm, le Dr Robert Malone.

Le Dr Malone a plus fait explo­ser l’in­ter­net que Kim Kardashian. Lorsqu’il était dans l’émis­sion de Joe Rogan, il a fait beau­coup de bruit. Il est en quelque sorte le roi de la cancel culture. Sa page Wikipédia indique litté­ra­le­ment qu’il a diffusé de la désin­for­ma­tion. Je ne plai­sante pas, pendant la pandé­mie, pendant le COVID, il a été complè­te­ment déni­gré, retiré des médias sociaux. Pourtant, il détient de nombreux brevets dans le domaine des vaccins, tant au niveau natio­nal que mondial.

Et je vais dire que nous avons une parti­cu­la­rité ici, parce que parlons-en, Taylor : nous ne faisons pas comme tout le monde. Nous accueillons égale­ment le cerveau du Dr Malone, sa complice dans le crime, son épouse de longue date, sa parte­naire commer­ciale, la Bonnie de Clyde, le Dr Jill Malone. Permettez-moi de vous parler un peu de Jill.

Elle est titu­laire d’un docto­rat en poli­tique publique avec une spécia­li­sa­tion en biotech­no­lo­gie. Elle a fondé plusieurs entre­prises de biotech­no­lo­gie, et possède une exper­tise en immu­no­lo­gie et en épidé­mies de mala­dies infectieuses.

Nous allons donc passer un bon moment aujourd’­hui, car il n’est pas habi­tuel de vous voir tous les deux ensemble. Et je dois dire que vous êtes tous les deux très élégants. Robert, je suppose que vous avez revêtu votre tenue du mercredi, pas seule­ment pour moi, mais aussi pour votre char­mante compagne.

Dr Robert Malone : Oh, eh bien, c’est elle qui a fixé la norme, elle a mis cet adorable manteau de soie qu’elle a acheté à Istanbul, et j’ai donc dû mettre une veste pour ne pas paraître minable, sinon j’étais en T‑shirt.

Taylor Ferber : Tout à fait. Lorsque je vous ai rencon­trés, j’ai eu cette idée. Je pensais que nous étions toujours habi­tués à voir Robert sur le devant de la scène, et j’ap­pré­cie vrai­ment l’au­dace et la voix qu’il a appor­tées au COVID et aux débats sur la pandémie.

Mais il est temps de donner la vedette à Jill. Ne vous inquié­tez donc pas, Robert, vous aurez votre mot à dire, mais c’est la dame qui occu­pera le devant de la scène, n’est-ce pas ? C’est parti. Bienvenue dans l’émis­sion. Je suis très enthousiaste.

Dr Jill Malone : Je vous remercie.

Dr Robert Malone : Cool.

Taylor Ferber : Jill, j’ai été très impres­sionné parce que vous êtes vrai­ment… quand je dis le cerveau de l’opé­ra­tion, vous êtes vrai­ment, je veux dire, vous m’avez dit que vous vous levez à 5 heures du matin pour écrire des articles sur Substack, et vous m’avez dit : « Même si Robert est au centre de toute cette tempête média­tique, je n’ai pas besoin de recon­nais­sance. Je sais ce que nous essayons de faire, je sais de quoi il s’agit. Je n’ai pas besoin d’éloges. Il s’agit de faire connaître la vérité. »

N’est-ce pas ?

Dr Jill Malone : C’est exact.

Taylor : Cela étant dit, comment s’est dérou­lée cette expé­rience pour vous, au plus fort de l’ac­tion ? Et votre mari, le Dr Malone, a‑t-il changé dans tout cela ? Il est devenu une célé­brité médi­cale sur Internet.

Dr Jill Malone : Non, il n’a pas changé du tout, vraiment.

Comment était-ce au début ? C’était frus­trant. C’était horri­fiant, car la désin­for­ma­tion de notre gouver­ne­ment et des médias s’est répan­due à son sujet. Puis cela a empiré, car il a gagné en noto­riété en s’ex­pri­mant sur les problèmes de sécu­rité liés au vaccin. La propa­gande a été intense, par exemple sa page Wikipedia a été effa­cée et réécrite. Les pages (Wiki) sur les vaccins à ARN et à ADN ont été réécrites pour en faire dispa­raître son nom. Il s’agis­sait là d’évé­ne­ments très précoces, et c’était terrible. Personne ne pouvait rien faire, nous ne pouvions rien faire.

Sauf ripos­ter en veillant à ce que la voix de Robert soit enten­due, en la faisant entendre, en faisant des podcasts, en écrivant.

Puis il a été banni de LinkedIn. À l’époque, il prenait soin d’uti­li­ser des articles évalués par des pairs pour faire valoir ses points de vue sur LinkedIn et Twitter. Il ne se conten­tait donc pas de faire des décla­ra­tions. Il essayait toujours d’étayer ses propos en trou­vant des cita­tions dans des revues évaluées par des pairs… Parce qu’à l’époque, tout ce que vous disiez qui allait à l’en­contre des vaccins était effacé.

Nous avons donc joué ce jeu pendant long­temps. Malgré cela, il a fini par être banni de LinkedIn, puis de Twitter. Son compte Twitter a été supprimé presque le jour de son inter­view avec Joe Rogan. Il y a donc de bonnes raisons de penser qu’ils savaient que cette inter­view allait avoir lieu et qu’ils l’ont supprimé juste avant qu’elle ne soit diffusée.

C’était donc terrible et terri­fiant de voir sa répu­ta­tion enta­chée. À ce moment-là, au début, nous étions encore consul­tants pour des entre­prises et des gouver­ne­ments, et nous avons perdu tous les contrats. Ils ont tous disparu. Nous avons dû fermer cette entre­prise. Et c’était une acti­vité que nous avions depuis 20 ans. Nous subve­nons à nos besoins grâce à Substack et à quelques confé­rences, mais c’est tout.

Taylor : C’est telle­ment triste et effrayant. Et je ne pense pas que les gens réalisent vrai­ment l’am­pleur de la situa­tion parce qu’ils diront toujours : « La cancel culture est un canu­lar, ce n’est pas vrai­ment réel. Ce n’est pas vrai­ment réel. » Ce que les gens ne réalisent pas, c’est ce que vous venez de dire. Nous le voyons dans la culture pop. On le voit même dans le jour­na­lisme : si un jour­na­liste a un point de vue impo­pu­laire ou enquête sur quelque chose qui ne convient pas aux pouvoirs en place, ses rédac­teurs en chef, ses collègues l’isolent et le mettent au ban de la société. C’est comme les Hunger Games.

Dr Jill Malone : De nombreux podcasts sont aujourd’­hui animés par d’an­ciens présen­ta­teurs de Fox, de CNN, etc. Des gens qui ont été éjec­tés de grandes socié­tés de médias parce qu’ils avaient « mal pensé » lors d’une inter­view, et qui ont été licen­ciés ou dont les contrats ont été rési­liés. Ils ne peuvent plus trou­ver d’emploi dans le secteur, et finissent par deve­nir podcas­teurs. C’est vrai­ment horrible.

Taylor : Et ce qui est triste, c’est que vous êtes tous les deux mani­fes­te­ment… si quel­qu’un devait remettre en ques­tion votre auto­rité, votre supé­rio­rité intel­lec­tuelle, le mur derrière vous (alignant des diplômes et des brevets) le dit juste assez. Mais ce qui me fait peur, c’est que la liberté d’ex­pres­sion en méde­cine, et dans mon monde (la culture pop), soit annu­lée. Tout le monde devrait être concerné, car nous essayons d’in­for­mer et d’in­no­ver, ce que vous avez fait tous les deux, et d’al­ler de l’avant. Nous avons donc ces auto­ri­tés et l’establishment…

Dr Jill Malone : qui exigent une pensée unifor­mi­sée dans le monde entier, ce qui est tout simple­ment effrayant.

Taylor : Tout le monde devrait s’in­quié­ter. Je viens d’ailleurs de rece­voir Matt Taibbi, le prin­ci­pal jour­na­liste des dossiers Twitter, dans mon émis­sion, et il a dit : « En creu­sant tout cela, qui que ce soit ? c’est pareil. L’Oz derrière le rideau, quel que soit le stagiaire de Twitter ce jour-là, a ce genre de pouvoir impres­sion­nant pour faire taire quel­qu’un comme l’un d’entre vous. » C’est effrayant.

Robert, j’ai­me­rais m’adres­ser à vous. Après avoir traversé tout cela, étant donné que Jill a vrai­ment été une colonne verté­brale pour vous, à plus d’un titre, dans les affaires et la méde­cine, et ce que vous essayez de faire dans votre message et tout cela, n’est-ce pas ? Au plus fort de tout cela, quel est, selon vous, le meilleur conseil qu’elle vous ait donné pour garder votre sang-froid, ne rien lâcher, pour ainsi dire, et conti­nuer à avan­cer et à main­te­nir le cap ?

Dr Robert Malone : Eh bien, son conseil est perma­nent. Nous sommes vrai­ment, après avoir été mariés pendant près de 45 ans, et ensemble avant cela, des lycéens amou­reux. Nous ne faisons plus qu’un, et nous parta­geons toutes nos pensées. Comme elle en parlait avec vous, notre routine mati­nale est la suivante : les chiens nous réveillent, nous leur donnons à manger, nous prenons une tasse de café, et nous commen­çons à parler des événe­ments quoti­diens et de ce que nous allons écrire sur Substack.

Au début, parce qu’il y a eu une série de chan­ge­ments discrets au fil du temps. Rogan a été un pivot clé. Avant cela, l’évé­ne­ment Steve Kirsch Dark Horse Podcast. Et avant cela, c’était la déci­sion de répondre à la diffa­ma­tion et à la censure vrai­ment malveillantes et aux tenta­tives de me faire sortir de l’histoire.

Je n’aime pas les conflits, pour être franc. Lorsque cela s’est produit, j’ai eu tendance à me dire : « Oh, ce sont des connards et c’est une bataille perdue d’avance. » Mais Jill a insisté pour que nous nous enga­gions. En fait, c’est elle qui a rédigé un … nous avions une grand réser­voir de données que j’avais conser­vées de l’Institut Salk et de Vical dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix. Au fait, juste un petit commen­taire sur votre intro­duc­tion, je n’ai pas conçu ce vaccin (COVID) en parti­cu­lier, bien que toute une armée de détrac­teurs l’af­firment. Je tiens à le préciser.

J’ai parti­cipé au déve­lop­pe­ment de la plate-forme tech­no­lo­gique de base, à la fin des années 1980 et au début des années 1990, mais pas pour ce vaccin (COVID) en parti­cu­lier. Mais Jill a insisté pour que nous en parlions et que nous en restions là. Ce qu’elle a fait, elle a sorti unegrand dossier de données que nous avions conser­vées, démé­na­ge­ment après démé­na­ge­ment, au fil des décen­nies, et elle a fouillé dedans pour en extraire, en gros, ce que l’on pour­rait appe­ler les reçus. Les docu­ments primaires de mes divul­ga­tions d’in­ven­tion et de mes dépôts de brevets, le brevet déposé à Salk, ainsi que tous les autres brevets antérieurs.

Dr Jill Malone : Robert a donc parti­cipé à l’in­ven­tion des vaccins à ARNm (en tant que tech­no­lo­gie), mais pas à ces « vaccins » parti­cu­liers contre les coronavirus.

Ce qui s’est passé avec le vaccin COVID, y compris les essais cliniques, les problèmes liés à la nano­par­ti­cule lipi­dique utili­sée et toutes les données précli­niques, nous n’en avons pas eu connaissance.

Dr Robert Malone : La bioéthique.

Dr Jill Malone : La bioé­thique. Et nous avons supposé que cela avait été fait correc­te­ment et que les essais de sécu­rité avaient été réali­sés — à la fois précli­niques et cliniques. À ce moment-là, j’écri­vais du fait que cette grande campagne de marke­ting avait eu lieu, mais nous n’avions, à ce moment-là, aucune raison de nous méfier de ces vaccins à ARNm.

Nous pensions que les problèmes de toxi­co­lo­gie que nous avions rencon­trés étaient réso­lus. En réalité, nous avons aban­donné cette tech­no­lo­gie en 2000 parce que nous avions des problèmes de toxi­co­lo­gie, tels que l’in­flam­ma­tion. Nous avons donc aban­donné cette ligne de recherche il y a une ving­taine d’an­nées. Mais nous avions l’as­su­rance que ces problèmes avaient été réso­lus. Quelqu’un (le Dr Peter Marks) à la FDA a assuré à Robert que ces problèmes n’exis­taient plus. Et puis, ce qui s’est passé, pour ceux qui ne le savent pas, c’est que Robert a reçu l’en­semble des données précli­niques qui ont été soumises au Japon…

Dr Robert Malone : Du Dr Byran Bridle.

Dr Jill Malone : Ce jeu de données précli­niques montrait qu’il y avait des signaux de sécu­rité, des effets indé­si­rables chez les souris ou les rats — des problèmes de toxi­co­lo­gie. C’est à ce moment-là que nous avons commencé à fouiiller.

Taylor : Je l’ai dit au plus fort de l’af­faire et dès le début. Tout d’abord, la pres­sion aveugle pour rendre cela obli­ga­toire. Je suis liber­taire dans ce sens ; ne me dites pas ce que je dois faire. Mais mon prin­ci­pal problème est que nous avons des gens comme vous qui ont mani­fes­te­ment consa­cré leur vie à cette ques­tion. Vous êtes mani­fes­te­ment des figures d’au­to­rité dans ce domaine. Et pour­tant, parce que cela va à l’en­contre de ce qui est en place ce jour-là, vous ne pouvez même pas être entendus ?

Pour moi, c’est insensé. J’avais dit à l’époque : « Sommes-nous dans une machine à remon­ter le temps ? Est-ce Marty McFly ? Comment pouvons-nous savoir comment cela va nous affec­ter dans deux ans, dans cinq ans ? Nous n’en savons rien. Étant donné que Jill vous a vrai­ment poussé à parler, je sais que je n’es­saie pas de prendre ce sujet à la légère, et je sais que la pandé­mie était si grave et qu’elle a boule­versé nos vies à tous, et je sais qu’il s’agit évidem­ment d’un sujet très sérieux, mais vous êtes-vous jamais amusé ? Y a‑t-il eu un moment où vous vous êtes dit : « C’est vrai­ment grati­fiant, même si c’est la merde » ?

Dr Jill Malone : La cohorte de méde­cins et de scien­ti­fiques de la Pandemic Health Alliance et d’autres personnes que nous avons accom­pa­gnées lors de confé­rences. Ils sont deve­nus des membres de la famille et nous nous sommes bien amusés. Ce n’était pas si mal. C’est vrai. Et la vérité, c’est aussi que Robert et moi sommes deux, nous prenons notre pied en utili­sant nos cerveaux, en pensant et en écri­vant. Il y a donc beau­coup de plai­sir à créer, à assem­bler des choses et à découvrir.

Et pour le dire, nous ne pouvons plus faire confiance à la santé publique et à la FDA. Toute notre carrière a été consa­crée à soute­nir des orga­ni­sa­tions gouver­ne­men­tales auxquelles nous n’ac­cor­dons plus aucune confiance. Nous avons perdu toute confiance.

Taylor : Wow. Vous y avez consa­cré votre vie. Et si vous dites cela, qu’est-ce que cela signi­fie pour le reste d’entre nous ? C’est vrai ? C’est grave et c’est inquiétant.

Dr Jill Malone : C’est grave.

Taylor : Et diriez-vous, parce qu’il est évident que ce sujet est devenu une telle source de discorde et qu’il s’est infil­tré dans la poli­tique, la culture, le diver­tis­se­ment, n’est-ce pas ? Nous avons commencé à voir des célé­bri­tés comme Jane Fonda faire pres­sion pour que les gens se fassent vacciner.

Dr Robert Malone : Elles étaient rému­né­rées. C’est donc l’un des éléments clés que vous venez d’ob­ser­ver. La campagne de propa­gande et l’achat d’in­fluen­ceurs, y compris de musi­ciens et d’autres types d’in­fluen­ceurs de haut niveau, ont été harmo­ni­sés et simul­ta­nés. Il s’agis­sait d’argent liquide, d’une quan­tité massive d’argent liquide, et cela s’est produit dans le monde entier, en même temps, avec la même stra­té­gie, renfor­çant le même message. Le message se propa­geait dans le monde entier.

Taylor : Encore une fois, le fait que des infor­ma­tions erro­nées soient diffu­sées sur votre Wikipédia. Comment cela peut-il être logique pour quel­qu’un qui a parti­cipé au déve­lop­pe­ment de cette tech­no­lo­gie, qui s’est fait vacci­ner, d’être anti-vaccin, n’est-ce pas ? Mais on vous dénigre et on vous fait passer pour un cinglé de droite. Cela dit…

Dr Robert Malone : Eh bien, parce que la vérité n’a aucune impor­tance dans cet envi­ron­ne­ment et qu’il n’y a abso­lu­ment aucune limite éthique. Il s’agit de guerre de cinquième géné­ra­tion, au sujet de laquelle je donne constam­ment des conférences.

Il n’y a pas de limites éthiques pour eux. Tout est basé sur le concept utili­ta­riste selon lequel la fin justi­fie les moyens. Ils sont donc prêts à dire ou à faire n’im­porte quoi. En fait, ce que nous avons eu, c’est la main­mise des entre­prises sur les médias, avec le soutien de l’État admi­nis­tra­tif. Tous deux ont en quelque sorte fusionné avec la commu­nauté du rensei­gne­ment à l’échelle mondiale, en parti­cu­lier dans les pays occi­den­taux. Ils ont ensuite assi­milé l’éthique de la commu­nauté du rensei­gne­ment, qui n’est en fait pas une éthique du tout. Tout groupe qui est prêt à assas­si­ner et à saper des gouver­ne­ments, à mani­pu­ler les résul­tats d’élec­tions, etc. à l’échelle inter­na­tio­nale, n’a en fait aucune éthique par rapport à la vôtre ou à la mienne.

Taylor : Ceci étant dit, quel­qu’un qui nous écoute pour­rait dire : « Vous êtes sorti, vous n’avez pas fait de vaccin et vous avez tué ma grand-mère. » Et ils vous entendent dire que la CIA, le gouver­ne­ment, les médias sont tous impli­qués main­te­nant, alors que lorsque c’était au plus fort, et même main­te­nant avec mes théo­ries, j’ai dit : « Il s’agit de contrôle. Ne négli­geons pas les grandes socié­tés phar­ma­ceu­tiques, les profits et l’argent à juste titre. » Mais pour quel­qu’un comme lui, qui ne voit rien d’autre, qu’est-ce qui le pousse à exer­cer un tel contrôle et un tel pouvoir ?

Dr Jill Malone : Le pouvoir et l’ac­cès. Lorsque vous regar­dez les jets de messages sur Twitter, vous voyez .mil, vous avez .gov, je ne sais pas quelle est la termi­nai­son de la CIA pour leurs cour­riels. Mais il y avait aussi .NIH, .HHS, puis .CDC, et puis il y avait tous ces gens des médias et des médias sociaux qui commu­ni­quaient les uns avec les autres. Ils s’in­vi­taient à déjeu­ner. Il y avait des cock­tails. Les médias accé­daient au gouver­ne­ment comme ils ne l’avaient jamais fait aupa­ra­vant. Or c’est une chose très précieuse pour les médias. Sans parler du volume de publi­cité. À un moment donné, le Congrès a alloué un milliard de dollars au CDC pour qu’il les distri­bue aux médias, et beau­coup plus d’argent que cela a été docu­menté. Les médias ont énor­mé­ment profité du gouver­ne­ment pendant cette période.

Dr Robert Malone : À un moment où leur modèle d’en­tre­prise est en train d’échouer, le modèle d’en­tre­prise des médias est en train de sombrer lui aussi.

Dr Jill Malone : Alors, suivez la trace de leur argent. Au fur et à mesure qu’ils perdent des reve­nus prove­nant des abon­ne­ments, ils gagnent de l’argent auprès du gouver­ne­ment. C’est vrai­ment dangereux.

Taylor : J’ai quitté la Californie pendant la pandé­mie à cause de toutes les ferme­tures. Alors — Gavin Newsom, comment suis-je censé gagner ma vie, monsieur ? Mais on voyait aussi le maire de Chicago, on voyait Gavin Newsom au restau­rant. Mais nous étions tous masqués et à la maison. Encore une fois, les Hunger Games — l’hy­po­cri­sie est omniprésente.

Dr Jill Malone : L’hypocrisie et l’ab­sence de bon sens étaient incroyables.

Taylor : Je dirais, et bien sûr j’ai eu un problème avec tout cela dès le début, et je l’ai fait savoir dès le début, qu’ils veulent que les gens aient peur.

Ils veulent que les gens aient peur. Ils veulent que les gens soient vacci­nés, qu’ils restent chez eux, qu’ils soient affai­blis et qu’ils n’aient pas de travail. Ils ferment votre entre­prise pour que vous soyez complè­te­ment dépen­dant du gouver­ne­ment. Cela ne va-t-il jamais un peu trop loin ? Les pouvoirs en place l’ont-ils calculé à ce point ? Qu’en pensez-vous ?

Dr Jill Malone : Robert et moi discu­tons tout le temps de la ques­tion de savoir quelle était la motivation ?

Dr Robert Malone : C’est le thème prin­ci­pal du livre que nous avons co-écrit. Ce livre s’in­ti­tule Lies My Gov’t Told Me and the Better Future Coming (Les mensonges que mon gouver­ne­ment m’a racon­tés et l’ave­nir meilleur qui s’an­nonce, 2022 lien:yhx0). Il s’at­tache en grande partie à déter­mi­ner qui est le maître des marion­nettes, ce qui se cache derrière tout cela, mais aussi quelles sont les moti­va­tions. Ernst Wolf a été l’un des premiers à défendre la théo­rie selon laquelle il exis­te­rait un programme finan­cier impli­quant les banques centrales et la Banque des règle­ments inter­na­tio­naux, qui vise à orien­ter la popu­la­tion vers la monnaie numé­rique de la banque centrale, et vers un monde plus numé­risé avec une collecte massive d’in­for­ma­tions selon le modèle chinois. C’est ce que révèle…

Taylor : Le contrôle.

Dr Robert Malone : Le contrôle, le pouvoir, le pouvoir écono­mique, l’im­pé­ria­lisme, tout cela se retrouve dans cette chose.

Taylor : Et n’est-il pas inté­res­sant de… sans vouloir passer pour un extré­miste, de voir comment tant de conspi­ra­tions « citées », comme la théo­rie de la ligue des labo­ra­toires qui vous a fait bannir parce que vous étiez cinglés, que vous étiez contraires à l’éthique, puis… vous allez dans la machine à remon­ter le temps mention­née plus haut, et ils vous disent que vous êtes des cinglés. Puis… vous montez dans la machine à remon­ter le temps mention­née plus haut, et elles se révèlent vraies. À ce propos, j’ai­me­rais m’at­tar­der un peu sur la culture pop et le niveau cultu­rel de tout cela.

Comme je l’ai dit à l’époque, j’ai été très critique, et j’ai même dit ce que vous avez dit tous les deux, à savoir que c’était trop préci­pité, n’est-ce pas ? Nous n’en savons rien. Nous ne savons pas comment cela [le vaccin] affec­tera nos corps, notre popu­la­tion — dans X années. À Hollywood, bien sûr, où l’au­to­ri­ta­risme est très présent. Ils ont imposé la vacci­na­tion à tous les membres de l’équipe, aux concierges, aux acteurs…

Dr Robert Malone : Et n’ou­bliez pas que la Chine possède une grande partie des studios d’Hollywood.

Taylor : Vous vous souve­nez de Letitia Wright des Black Panthers ? Elle a retweeté quelque chose qui ne faisait que poser une ques­tion, être scep­tique. Cela aurait pu être l’un de vos tweets. Et je l’ai retwee­tée en lui disant que c’était vrai. C’est ainsi que la chaîne s’est mise en place. Bien sûr, toute cette merde inquié­tante a commencé à se produire, n’est-ce pas ? C’est comme si elle était suspen­due du projet. Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres, dans la culture pop, à Hollywood, de la façon dont ils vous font taire et vous excluent.

Aujourd’hui, nous voyons des gens, jeunes, en bonne santé, des athlètes, des artistes, tomber au hasard de choses bizarres, comme un arrêt cardiaque. Je n’en cite­rai que quelques-uns. Le joueur de la NFL, DeMar Hamlin, s’est effon­dré sur le terrain, le fils de LeBron James, Bronny James, et même Hailey Bieber a eu un acci­dent vascu­laire céré­bral. Nous avons une artiste en ce moment, Tori Kelly, qui est, je crois, à l’hô­pi­tal, après s’être effon­drée — avec des caillots sanguins.

Cela dit, je pense qu’il est natu­rel pour des gens comme moi de tirer ces conclu­sions et de se dire : « C’est bizarre. Pourquoi tous ces jeunes gens tombent-ils main­te­nant ? Sommes-nous fous ? Y a‑t-il un rappro­che­ment à faire ? »

Dr Robert Malone : Vous n’êtes pas fous. Je voudrais juste donner un peu de temps à ce sujet. Au début de l’épi­dé­mie, alors que le vaccin était en cours de déve­lop­pe­ment (au début de son déploie­ment) et que les premiers essais cliniques avaient lieu, j’étais en contact hebdo­ma­daire avec trois personnes très haut placées au sein de la FDA, qui ne faisaient pas partie du service d’exa­men. Pour les initiés, c’est impor­tant. Ces personnes faisaient partie du bureau du scien­ti­fique en chef et du bureau du direc­teur. L’un d’entre eux était l’exa­mi­na­teur clinique le plus haut placé de la FDA à l’époque. Il s’agit donc de personnes d’ex­pé­rience, de méde­cins, de docteurs, etc.

Ils étaient très frus­trés. Nous étions tous très frus­trés par l’obs­cur­cis­se­ment et la suppres­sion de ce que l’on savait alors être les effets indé­si­rables (asso­ciés au vaccin géné­tique) de la réac­ti­va­tion des virus à ADN latent, c’est-à-dire le zona, l’EBV, etc. Et la myocar­dite — le CDC et la FDA ont nié l’exis­tence du signal de myocar­dite. Ils l’avaient détecté parce qu’ils utili­saient de nouvelles approches statis­tiques avec un homme qui travaille pour Oracle, le biosta­tis­ti­cien en chef d’Oracle, dont on pour­rait penser qu’il s’y connaît en analyse biosta­tis­tique des données, et c’est abso­lu­ment le cas.

Et ils ont mis en évidence, ce signal de myocar­dite. L’infrastructure du HHS (Health and Human Services) des États-Unis a nié l’exis­tence de ce signal. Par frus­tra­tion, ils se sont donc adres­sés à Israël et au groupe de base de données israé­lien et ont divul­gué leurs résul­tats. À l’époque, on pensait que les données israé­liennes étaient les seules valables, car les CDC ont reconnu qu’ils ne dispo­saient pas d’une bonne base de données pour captu­rer ces signaux.

Les Israéliens, une fois infor­més, ont donc analysé les chiffres rela­tifs à la myocar­dite et à la péri­car­dite et se sont dit : « Bon sang, c’est bien sûr ! » Ils ont alors prévenu le CDC, qui a véri­fié la chose, et c’est ainsi que ce signal a été iden­ti­fié à l’ori­gine. Ensuite, il y a eu une énorme campagne média­tique pour nier la vérité et brouiller les pistes, ce qui a empê­ché les patients de donner leur consen­te­ment éclairé sur les risques potentiels.

Ensuite, le Washington Post s’est procuré un jeu de diapo­si­tives du CDC qui avait appa­rem­ment fait l’ob­jet d’une fuite très tôt. J’ai analysé cette présen­ta­tion qui montrait que les vaccins étaient si peu fiables qu’il était impos­sible d’ob­te­nir une immu­nité collec­tive en utili­sant les vaccins. Mais ils le savaient depuis envi­ron deux ans, malgré les divers mensonges de Tony Fauci au fil du temps. J’ai écrit à ce sujet très tôt.

Il y a donc eu cela. Ils étaient au courant de la myocar­dite dès le début et ont conti­nué à la nier. L’un des bastions de la défense pro-vaccins, l’un des vacci­no­logues consa­crés, Paul Offit, s’est récem­ment exprimé dans un podcast dans lequel il a reconnu que la myocar­dite et la péri­car­dite étaient liées aux vaccins géné­tiques. En d’autres termes, que les vaccins étaient à l’ori­gine de ces mala­dies. Mais il a tout de même proposé une solu­tion limi­tée. Il a dit : « Peut-être que c’est dû à une mala­die auto-immune. »

Cette théo­rie date d’il y a envi­ron deux ans et ne corres­pond pas aux données. En fait, ce qu’il a fait, c’est de lais­ser flot­ter l’ex­pli­ca­tion la plus bénigne. « Oh, nous n’au­rions jamais pu le savoir parce qu’il s’agit d’un phéno­mène auto-immun. Il faut beau­coup de temps pour le détecter. »

C’est un mensonge. Le fait que ces enzymes cardiaques soient élevées dans les heures qui suivent la piqûre montre qu’il s’agit d’une cardio­toxi­cité directe asso­ciée aux parti­cules elles-mêmes. Il ne s’agit pas d’un phéno­mène auto-immun. Cela ne veut pas dire que cela n’ar­rive pas.

Dr Robert Malone : Et cela se produit égale­ment au niveau de la coagu­la­tion sanguine, cette throm­bo­cy­to­pé­nie thrombotique.

Dr Jill Malone : Il y a beau­coup de preuves que si vous avez des muscles maigres, si vous avez peu de graisse corpo­relle, vous serez plus dure­ment touché par la myocar­dite. Ce n’est pas pour rien que le CDC a dit : « Si vous venez d’être vacciné, vous ne devriez pas faire d’exer­cice pendant deux semaines ».

Taylor : Intéressant.

Dr Robert Malone : C’est un feu rouge.

Taylor : Pouvons-nous juste parler, je me souviens qu’au plus fort de l’af­faire, vous avez mentionné Fauci, le Dr Malone, qui est aussi la plus grande pros­ti­tuée des médias après Kim Kardashian. Il occu­pait litté­ra­le­ment tous les sièges sur MSNBC. Il a prononcé cette phrase éton­nante : « Je suis la science ».

Dr Robert Malone : N’oubliez pas les cita­tions du Forum écono­mique mondial de l’ONU.

Dr Jill Malone : C’était l’ONU.

Dr Robert Malone : « La science nous appartient. »

Dr Jill Malone : C’est ce qu’ils ont répondu pour expli­quer pour­quoi ils devaient censu­rer via Google, et faire figu­rer leurs clas­se­ments et les clas­se­ments qui promeuvent le vaccin en tête des résul­tats de recherche.

Taylor : Si ce n’est pas 1984…

Dr Jill Malone : « La science nous appartient ! »

Taylor : Si ce n’est pas 1984, je ne sais pas ce que c’est, car la science n’est pas la règle. Elle se déve­loppe, change, évolue…

Dr Jill Malone : Pour les non-croyants, il existe de nombreux articles évalués par des pairs qui le démontrent (les effets indé­si­rables asso­ciés au vaccin). Si vous allez sur pubmed​.gov et que vous essayez de faire une recherche, c’est très diffi­cile, parce qu’il y a telle­ment d’ar­ticles sur COVID main­te­nant. Mais il y a litté­ra­le­ment des centaines, voire des milliers d’ar­ticles sur les effets indé­si­rables de ces vaccins.

Taylor : Dr Malone, reve­nons rapi­de­ment à Fauci. Avez-vous déjà été dans la même pièce que lui depuis que tout cela a commencé ? Car j’ai­me­rais bien être une mouche sur le mur pour obser­ver cela.

Dr Robert Malone : Pas depuis le début. J’ai croisé le fer avec lui dans certains forums publics au fil du temps, en parti­cu­lier à propos du Zika. Je suis allé dans son bureau et je l’ai rencon­tré. Il ne s’en souvient pas, d’après certains docu­ments obte­nus en vertu de la loi sur l’ac­cès à l’in­for­ma­tion et la protec­tion des données. Il prétend qu’il ne savait pas qui j’étais. Je pense qu’il le sait proba­ble­ment main­te­nant, mais Tony… a dû vivre dans l’igno­rance de mon iden­tité. J’ai dû vivre dans l’ombre de Tony Fauci pendant toute ma carrière professionnelle.

Taylor : Oh mon Dieu.

Dr Robert Malone : J’ai commencé en 1983 par faire de la recherche en viro­lo­gie, car le labo­ra­toire dans lequel je travaillais à l’UC Davis était l’un de ceux qui ont été les premiers à iden­ti­fier que les rétro­vi­rus étaient asso­ciés au SIDA. Fauci, je ne connais pas de meilleure méta­phore que de dire qu’il agit comme un mafioso. Il agit comme le parrain. Il dirige un vaste réseau d’as­so­ciés, qu’il main­tient en contact étroit ou qu’il a histo­ri­que­ment main­tenu grâce au contrôle qu’il exerce sur d’énormes quan­ti­tés de fonds.

J’ai consulté la base de données fédé­rale, car je connais les diverses méthodes infâmes de recherche au pays des Govies [?], et j’ai obtenu les numé­ros de télé­phone et les listes de tous les membres du person­nel des médias qui lui rendent direc­te­ment compte. Il ne s’agit là que des personnes qui rendaient compte à Tony Fauci. Je pense qu’il y avait 65 employés à plein temps dédiés à Fauci et à la gestion…

Dr Jill Malone : Ses médias.

Dr Robert Malone : Ses médias. Et puis il y avait 12 ou 13 personnes asso­ciées à la gestion de The Hill. Cela vous montre l’équi­libre rela­tif lorsque, comme vous l’avez dit, vous l’avez quali­fié de pute média­tique. Je n’au­rais rien à redire à cette carac­té­ri­sa­tion, mais elle était étayée par une armée dont n’im­porte quelle salle de rédac­tion serait fière.

Taylor : Je m’en suis moquée à l’époque, car il était très présent dans le circuit de la presse holly­woo­dienne. Je rece­vais litté­ra­le­ment des commu­ni­qués de presse annon­çant un événe­ment au Beverly Hilton de Los Angeles (ou ailleurs) en l’hon­neur du Dr Anthony Fauci. Je me disais : « Vous ne pouvez vrai­ment pas imagi­ner cette merde. » Mais je dirais qu’en tant qu’Italien, Tony Fauci ne parle pas pour le reste d’entre nous. Il ne nous repré­sente pas.

Dr Jill Malone : Notre gouver­ne­ment est forte­ment impli­qué dans la recherche sur l’aug­men­ta­tion humaine à des fins mili­taires. Ainsi, lorsque nous parlons de Neuralink, ce n’est pas parce qu’ils sont attris­tés par les vété­rans qui ont une lésion de la colonne verté­brale. La vraie raison, c’est qu’ils veulent augmen­ter nos troupes, parce qu’ils pensent que la PCC [Parti commu­niste chinois] augmente ses troupes. Ils veulent donc établir des liens neuro­naux, contrô­ler les ordi­na­teurs à l’aide d’une inter­face céré­brale. Ils veulent avoir des capteurs dans notre peau qui peuvent fonc­tion­ner avec un exosquelette.

Ils conçoivent des choses insen­sées, et c’est la réalité. Ce qui me dérange vrai­ment, c’est qu’il s’agit d’une autre tech­no­lo­gie galo­pante où, oui, il y a un IRB [Comité de protec­tion des personnes] qui véri­fie la sécu­rité de l’es­sai clinique, mais personne ne cherche à savoir si c’est bon pour la société, si c’est bon pour l’hu­ma­nité, si c’est bon que nous soyons… que nos cerveaux, que nous soyons capables de nous inter­fa­cer direc­te­ment avec un ordi­na­teur. Il y a un avenir dysto­pique qui nous a été imposé par le cyber­punk et les médias, comme dans les films de Marvel. Il suffit de penser à Ironman — personne ne se demande si ces tech­no­lo­gies utili­sées pour la guerre seront réel­le­ment béné­fiques pour l’humanité.

Et quelle est la contri­bu­tion de notre armée et de la CIA à la diffu­sion de ces messages dans les médias ? Je pense que nous devons vrai­ment nous pencher sur la ques­tion. Personnellement, j’en suis arrivé au point où je remets tout en ques­tion. Car il ne fait aucun doute que l’aug­men­ta­tion humaine consti­tue une grande partie de la recherche mili­taire à l’heure actuelle.

Dr Robert Malone : C’est une grande partie de ce que le WEF [Forum écono­mique mondial] et Yuval Harari décrivent comme la quatrième révo­lu­tion indus­trielle : la fusion de l’homme et de la machine. C’est un objec­tif explicite.

Dr Jill Malone : Et presque personne ne nous inter­roge (la popu­la­tion en géné­ral) à ce sujet.

Taylor : Je pense que, confor­mé­ment à mes convic­tions et à mon travail, les gens doivent, nous devons remettre en ques­tion l’au­to­rité. Nous devons leur deman­der des comptes. Il faut que tout le monde soit entendu, car l’al­ter­na­tive n’est pas bonne. Dernière ques­tion, car je dois malheu­reu­se­ment vous lais­ser partir : après tout cela, qu’est-ce qui vous donne de l’espoir ?

Dr Jill Malone : J’espère que nous allons nous en sortir et trou­ver un moyen d’al­ler de l’avant. Je pense que l’une des raisons pour lesquelles j’ai de l’es­poir est que les commu­nau­tés rurales et moins urbaines sont tout à fait conscientes de ce problème. Et je crois que de nombreux États se protègent. Heureusement, aux États-Unis, les États ont la souve­rai­neté sur le gouver­ne­ment fédé­ral, à moins que cela ne soit spéci­fi­que­ment prévu. J’espère que notre consti­tu­tion sera respec­tée. C’est pour­quoi je suis devenu une consti­tu­tion­na­liste, car en fin de compte, c’est ce qui nous sauvera.

Dr Robert Malone : Mon point de vue est donc un peu plus sombre.

Je pense que nous allons nous retrou­ver dans des eaux très agitées pendant un certain temps. Je crois que la situa­tion va empi­rer avant de s’amé­lio­rer. La seule façon d’avan­cer pour les personnes qui sont éveillées (par oppo­si­tion à woke) et se souviennent que, histo­ri­que­ment, de nombreuses recherches en psycho­lo­gie et en compor­te­ment ont montré qu’en­vi­ron 75 % de la popu­la­tion est faci­le­ment récep­tive à l’idée d’un chan­ge­ment de comportement.

Environ 75 % de la popu­la­tion est faci­le­ment influen­çable. Ils sont donc faci­le­ment hypnotisables.

Et en parti­cu­lier 25 % sont haute­ment suggestibles.

Seulement 25 % de la popu­la­tion résiste à ce type de mani­pu­la­tions psychologiques.

Et en géné­ral, seuls 5 à 10 % de la popu­la­tion veulent vrai­ment être libres.

Donc si vous faites partie de… et je suis désolé, mais Taylor, vous faites proba­ble­ment partie de cette mino­rité, d’après ce que vous faites ici.

Et donc, pour ceux d’entre nous qui font partie de cette mino­rité, comme l’en­seigne Mattias Desmet… Si nous ne voulons pas que le reste de la culture s’en­fonce encore plus profon­dé­ment dans la folie, nous devons nous expri­mer. Même s’ils nous attaquent.

Taylor : Cent pour cent d’accord.

Dr Robert Malone : Les choses vont deve­nir un peu diffi­ciles, et nous devons être prêts à tenir bon. Et nous devons aussi trou­ver des moyens de nous connec­ter les uns aux autres pour construire des commu­nau­tés. C’est la logique des commu­nau­tés inten­tion­nelles, qu’elles soient à distance et que nous soyons liés par des inté­rêts ou des pers­pec­tives communs, comme ce que nous parta­geons en ce moment. Ou des commu­nau­tés locales comme celle que nous avons ici en Virginie semi-rurale, où nous dépen­dons et inter­agis­sons les uns avec les autres et construi­sons un réseau de capa­ci­tés. C’est un peu le mode de vie des Amish, avec un peu plus d’autosuffisance.

Jill et moi avons litté­ra­le­ment créé notre ferme actuelle. Nous la possé­dons entiè­re­ment. Nous n’avons aucune dette. Nous possé­dons le trac­teur, le camion, nous avons tout payé, y compris la ferme et notre maison. C’est un modèle que beau­coup de gens commencent à adop­ter, parce que le système bancaire est au centre de ce contrôle. Et il est abso­lu­ment en train d’être mili­ta­risé de plus en plus — et de plus en plus chaque jour.

Nous le consta­tons. Nigel Farage n’en est qu’un exemple. Les camion­neurs cana­diens en sont un autre exemple. Et nous voyons cela se propa­ger jusqu’au niveau de personnes comme vous et moi. Je pense que le bon côté de la chose, c’est que nous pouvons main­te­nant voir leur main. Pour ceux d’entre nous qui sont prêts à essayer de préser­ver leur liberté, parce qu’ils ne peuvent pas vivre sans elle, nous devons commen­cer à construire des commu­nau­tés inten­tion­nelles et des infra­struc­tures qui nous permet­tront de survivre à la tempête qui s’annonce.

Taylor : Exactement. Et c’est un moment char­nière en ce moment, et j’ap­pré­cie évidem­ment le travail que vous faites. Je sais qu’ici, de mon côté, avec mon petit Cancel Me, Baby, nous ne nous tairons pas, et qu’il faut passer par l’en­fer pour arri­ver au para­dis. Je suis donc d’ac­cord. Je pense que le bon côté des choses est là.

Taylor : J’adore, j’adore. Merci beau­coup à vous deux. C’est telle­ment instruc­tif, réflé­chi et amusant. Je vais vous lais­ser partir, vous et votre palma­rès, et je conti­nue­rai à m’exprimer.

Dr Robert Malone : Merci de nous avoir invités.

Dr Jill Malone : Je vous remer­cie. ⚪️

Le soutien impli­cite que j’ap­porte aux points de vue d’émi­nents scien­ti­fiques nord-américains ne s’étend pas à leurs opinions poli­tiques, philo­so­phiques ou religieuses.

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Article créé le 24/08/2023 - modifié le 4/10/2023 à 09h35

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