Vaccins

Anthony Fauci et le système de santé publique

• Bookmarks: 149515


➡ Cette page est la traduc­tion du début d’une inter­ven­tion publique de Robert Francis Kennedy Jr (5 mars 2023N1) à Hillsdale College (USA). La trans­crip­tion en anglais est issue du substack de Robert Malone.
Comme reven­di­qué dans ma démarche, j’ac­corde la prio­rité aux sources primaires d’in­for­ma­tion, sans inté­rêt pour les opinions et commen­taires — qui ne manque­ront pas de couler à flots si RFK Jr se porte candi­dat à la prési­dence des États-Unis. Ce n’est pas le projet du candi­dat qui est présenté ici, mais sa biogra­phie d’avo­cat spécia­lisé dans l’en­vi­ron­ne­ment, puis d’ob­ser­va­teur critique (et contro­versé) de la gestion de la crise « CoVID » par les auto­ri­tés sani­taires aux USA.
Pour une mise en pers­pec­tive plus large, lire les articles Vers un nouvel "ordre mondial ?" et La publicité prend les armes. Les liens dans le texte sont de ma seule initia­tive.
Le contenu de cette inter­ven­tion n’engage que son auteur. Vous pouvez, bien entendu, poster vos remarques dans la partie commentaires.

Source : CC BY-SA 3.0

⚪️ Je vous remer­cie. Je suis très, très heureux d’être ici. Vous m’en­ten­dez ? Si vous ne m’en­ten­dez pas, levez la main [rires]. Je suis très heureux d’être ici. Bien que je ne sois jamais venu ici aupa­ra­vant, je me sens presque comme de retour à la maison, en raison du rôle incroyable que cette insti­tu­tion — [Hillsdale College] — a joué au cours de la période COVID-19, lors­qu’elle était le seul établis­se­ment d’en­sei­gne­ment supé­rieur du pays à s’être vrai­ment engagé pour la liberté.

À l’époque de sa créa­tion, en 1844, les aboli­tion­nistes étaient mépri­sés par la grande majo­rité, 90 % des habi­tants de notre pays les détes­taient, et pensaient qu’ils étaient fous et irréa­listes. Ce n’est que trois ans après le début de la guerre de Sécession que la situa­tion s’est inver­sée, et que le Président a décidé de libé­rer les esclaves. Mais il n’a pas pu le faire, en raison de l’an­ti­pa­thie du public pour l’abo­li­tion­nisme. Cette école a donc une histoire extra­or­di­naire, et elle est restée très fidèle aux valeurs sur lesquelles elle a été créée, à savoir l’amour de la liberté, quelle que soit l’opi­nion publique, quel que soit le coût pour le public, quelles que soient les pres­sions exer­cées pour que vous arrê­tiez, juste pour que vous vous battiez pour elle. C’est vrai­ment un témoi­gnage de quelque chose de spécial, et de l’in­ves­tis­se­ment qui a été fait ici, non pas pour accu­mu­ler, pour apprendre aux étudiants à accu­mu­ler pour eux-mêmes comme dans la plupart des univer­si­tés, et que celui qui meurt avec le plus de choses gagne, mais au contraire pour construire le carac­tère et en faire la démons­tra­tion. Et je vous remercie.

Hier soir, quel­qu’un m’a demandé comment j’étais arrivé dans le « gang anti­vax ». Je ne suis pas anti­vax, bien que je sois en quelque sorte la tête d’af­fiche du mouve­ment anti­vax, mais je suis avocat spécia­lisé dans l’en­vi­ron­ne­ment depuis main­te­nant 40 ans. Jusqu’en 2005, c’est la seule chose que j’ai faite. J’ai dirigé un groupe appelé Hudson River Keeper qui a repré­senté pendant 40 ans des pêcheurs commer­ciaux et des pêcheurs de loisir sur l’Hudson, en pour­sui­vant des pollueurs qui détrui­saient leurs moyens de subsis­tance, la valeur de leurs proprié­tés et leurs commu­nau­tés. Et ils avaient un modèle écono­mique. La pêche commer­ciale sur l’Hudson est la plus ancienne du pays. Les personnes que j’ai repré­sen­tées pendant 40 ans étaient pour la plupart issues de familles qui pêchaient sur le fleuve depuis l’époque colo­niale hollan­daise, avec des engins de pêche tradi­tion­nels. Ils utili­saient les mêmes méthodes de pêche que celles ensei­gnées par les indiens Algonquins, les premiers colons hollan­dais de la Nouvelle-Amsterdam, et trans­mises de géné­ra­tion en génération.

Leur modèle écono­mique a fonc­tionné pendant trois siècles. Puis ils ont été mis hors d’état de fonc­tion­ner par des pollueurs qui avaient du poids poli­tique, et qui étaient capables de mani­pu­ler les agences gouver­ne­men­tales, de les captu­rer et de les mani­pu­ler, afin d’échap­per à la disci­pline du marché libre et de forcer le public à payer leurs coûts de produc­tion. Ils ont trans­formé la vallée de l’Hudson en une sorte de capi­ta­lisme, non pas de marché libre, mais de capi­ta­lisme de conni­vance et de klep­to­cra­tie, qui est en réalité un socia­lisme pour les riches et une forme de capi­ta­lisme très sauvage, brutal et impi­toyable pour les pauvres.

Ils ont vu cela arri­ver, et je me suis battu pour eux pendant 40 ans, mais en 2000, nous avons eu gain de cause. J’ai intenté plus de 300 procès sur l’Hudson, tous couron­nés de succès. En 2000, nous avions contraint les pollueurs à dépen­ser trois milliards et demi de dollars pour assai­nir le fleuve. Lorsque j’ai commencé à travailler sur l’Hudson, la rivière s’en­flam­mait. Elle prenait des couleurs, selon la couleur dont on peignait les camions à l’usine General Motors de Tarrytown. C’était une eau morte, sans oxygène dissous, sur 20 miles au nord de la ville et 20 miles au sud.

Aujourd’hui, c’est un modèle inter­na­tio­nal de protec­tion des écosys­tèmes. C’est la voie d’eau la plus riche de l’Atlantique Nord. Elle produit plus de livres de pois­son par acre, plus de biomasse par gallon que toute autre voie d’eau de l’océan Atlantique au nord de l’équa­teur. C’est le dernier grand réseau fluvial de l’Atlantique qui possède encore de solides stocks de frayères de toutes ses espèces histo­riques de pois­sons migra­teurs. La résur­rec­tion mira­cu­leuse de l’Hudson a inspiré les défen­seurs des cours d’eau du monde entier. Nous sommes deve­nus le plus grand groupe de protec­tion de l’eau au monde. Nous comp­tons 350 défen­seurs de l’eau. Chacun d’entre eux dispose d’un bateau de patrouille. Ils patrouillent chacun sur une voie d’eau locale et intentent des procès contre les pollueurs. Nous sommes une orga­ni­sa­tion char­gée de l’ap­pli­ca­tion de la loi. Nous dispo­sons d’ex­cel­lentes lois sur l’en­vi­ron­ne­ment, mais celles-ci ne sont presque jamais appli­quées en raison de la main­mise des agences. Nous sommes toute­fois auto­ri­sés à les faire appli­quer en vertu d’une dispo­si­tion appe­lée « Citizen Supervision » (contrôle par les citoyens).

En 2003, l’Académie natio­nale des sciences a publié un rapport montrant que tous les pois­sons d’eau douce d’Amérique du Nord, sur une période de 10 ans, étaient conta­mi­nés par de dange­reux taux de mercure. Les gardiens de l’eau, qui repré­sentent les pêcheurs, étaient parti­cu­liè­re­ment inquiets, car ils avaient l’im­pres­sion de vivre un cauche­mar de science-fiction. Mes enfants, les enfants de tous les autres Américains, ne pour­raient plus s’adon­ner à l’ac­ti­vité favo­rite de la jeunesse améri­caine, qui consiste à aller pêcher dans les cours d’eau locaux, puis rentrer à la maison et manger le pois­son en toute sécu­rité. Ces entre­prises avaient priva­tisé le bien commun, une ressource appar­te­nant au public, pour en tirer des béné­fices. Elles avaient tout priva­tisé. Le pois­son ne nous appar­te­nait plus. Les entre­prises qui polluent, c’est-à-dire les centrales élec­triques au char­bon et les fours à ciment, principalement.

En 2005, nous avons commencé à les pour­suivre en justice. Beaucoup de gens inten­taient des procès aux centrales au char­bon, mais nous les atta­quions, les gardiens de l’eau les atta­quaient pour le mercure. En 2005, j’ai intenté 40 procès. J’ai voyagé dans tout le pays pour parler du mercure à des foules comme ici. Et, à presque chaque discours que je donnais, des groupes de femmes, diffé­rents à chaque endroit, venaient s’as­seoir au premier rang. Elles arri­vaient tôt. Lorsque j’avais terminé, elles atten­daient et deman­daient à me parler. Il s’est avéré qu’elles étaient toutes des mères d’en­fants défi­cients intel­lec­tuels. Et elles étaient toutes convain­cues que les vaccins avaient causé la bles­sure de leur enfant, en parti­cu­lier les vaccins conte­nant du mercure.

Elles me disaient, sur un ton très respec­tueux, mais aussi un peu provo­ca­teur : « Si vous vous inté­res­sez vrai­ment à l’ex­po­si­tion des enfants au mercure, vous devez vous pencher sur les vaccins. » Je ne voulais pas le faire. J’avais passé une grande partie de ma vie à travailler sur les ques­tions de défi­cience intel­lec­tuelle. Cela faisait partie de l’ADN de ma famille. Ma tante Eunice [Kennedy Shriver], qui était aussi ma marraine, avait lancé les Special Olympics. J’y travaillais depuis l’âge de huit ans, tous les week-ends, en tant qu’a­ni­ma­teur et entraî­neur. Lorsque j’étais adoles­cent, au lycée, j’ai passé 200 heures à travailler dans le foyer pour handi­ca­pés de Wassaic. Dans ma famille, mon oncle [JFK] a été président de la commis­sion de la santé pendant 50 ans. Ma famille a rédigé une grande partie de la légis­la­tion qui a conféré des droits et modi­fié l’en­semble des rela­tions avec les personnes handi­ca­pées mentales, la popu­la­tion la plus vulné­rable du pays. Mais je ne voulais pas faire cela toute ma vie. Je voulais travailler sur la pêche, la pollu­tion de l’eau, l’énergie.

J’évitais donc ces femmes. Puis l’une d’entre elles est venue chez moi, ayant repéré ma maison à Cape Cod, pendant l’été 2005. Il s’agis­sait d’une psycho­logue du Minnesota, Sarah Bridges. Elle avait un fils atteint d’au­tisme sévère à la suite d’un vaccin au mercure. Il avait obtenu 20 millions de dollars du tribu­nal des vaccins, qui avait reconnu que son autisme était dû au vaccin, qu’il n’y avait pas de contro­verse. Elle ne voulait pas que cela arrive à d’autres enfants. Elle s’est présen­tée chez moi et a sorti du coffre de sa voiture une pile d’études d’en­vi­ron 45 cm d’épais­seur. Elle l’a posée sur mon perron et a frappé à ma porte. Lorsque j’ai ouvert, elle m’a montré la pile et m’a dit : « Je ne parti­rai pas d’ici tant que vous n’au­rez pas lu ces études. »

J’ai l’ha­bi­tude de lire des écrits scien­ti­fiques. Je voulais être scien­ti­fique quand j’étais enfant. Et le type de droit que je pratique implique beau­coup de science. Ainsi, presque tous les procès que j’ai inten­tés étaient en lien avec une contro­verse scien­ti­fique. Je ne serais pas très bon dans mon travail si je n’ai­mais pas lire la science, et si je ne pouvais pas en faire une lecture critique. Je me suis donc assis, je n’ai pas lu les études mais j’ai lu les résu­més. J’ai parcouru une quin­zaine de centi­mètres de cette pile et j’ai été stupé­fait par l’énorme écart entre ce que les agences de santé publique disaient de la science, et ce que les études scien­ti­fiques publiées et évaluées par des pairs disaient. Après cela, j’ai commencé à faire ce que je faisais toujours lorsque je ne compre­nais pas quelque chose. Grâce à mon nom et aux rela­tions de ma famille avec ces insti­tu­tions, je pouvais toujours avoir très rapi­de­ment au télé­phone le respon­sable d’une insti­tu­tion. J’ai commencé à les appe­ler et leur poser des ques­tions. J’ai eu Francis Collins du NIH, et Kathleen Stratton et Marie McCormick de l’Institut de médecine.

Ils m’ont dit quelque chose de bizarre. Je leur ai posé des ques­tions sur la science mais je me suis rendu compte qu’ils ne la connais­saient pas du tout. Ils se conten­taient de répé­ter cette phrase, « sûr et effi­cace ». Ils n’avaient lu aucun docu­ment scien­ti­fique. Et quand je leur ai demandé des détails, ils m’ont répondu : « Vous devriez parler à Paul Offit. » Paul Offit est un déve­lop­peur de vaccins, parte­naire de Merck.

J’ai travaillé avec l’EPA [U.S. Environmental Protection Agency] pendant de nombreuses années, et proba­ble­ment 20 % de mes procès étaient diri­gés contre l’EPA, qui est une agence captive des indus­tries pétro­lières, chimiques et des pesti­cides. Si j’ap­pelle un scien­ti­fique ou un régu­la­teur de l’EPA, il aura un peu de respect pour lui-même et essaiera de répondre à ma ques­tion. Il ne va pas me redi­ri­ger vers un lobbyiste de l’in­dus­trie du charbon.

C’était donc bizarre. Ensuite, lorsque j’ai parlé à Paul Offit, je l’ai pris en flagrant délit de mensonge, et je ne vais pas m’étendre sur le sujet. J’aimerais bien le faire, mais je dois écono­mi­ser mon temps, alors croyez-moi sur parole. Mais il savait que je l’avais pris en flagrant délit de mensonge. Et je le savais aussi. Il y a eu ce moment où on s’est dit : « Tu es un menteur. » J’ai alors réalisé : « Soit ils ne savent pas ce qu’ils font, soit ils mentent déli­bé­ré­ment. » Puis j’ai réalisé que ces insti­tu­tions étaient complè­te­ment mani­pu­lées, juste « dopées » par les dons… La FDA [Food and Drug Administration] reçoit plus de 50 % de son budget des socié­tés phar­ma­ceu­tiques. Les CDC [Centers for Disease Control and Prevention] disposent d’un budget de 12 milliards de dollars, dont 5 milliards, soit près de la moitié, sont consa­crés à l’achat de vaccins auprès de ces entre­prises et à leur distribution.

Ainsi, si vous travaillez au CDC, vous n’ob­tien­drez pas de promo­tion en déce­lant des problèmes avec les vaccins. Vous serez plutôt promu en encou­ra­geant l’uti­li­sa­tion des vaccins. Les NIH [National Institutes of Health] ne sont qu’un incu­ba­teur de produits phar­ma­ceu­tiques. Ils déve­loppent les vaccins, les trans­mettent à l’in­dus­trie et aux univer­si­tés, qui reçoivent alors des fonds des NIH, à hauteur de 200 ou 300 millions de dollars, pour réali­ser des essais de phase 1 et de phase 2. Si ces essais sont concluants, ce qui est toujours le cas, vu qu’ils s’ar­rangent pour qu’ils le soient, ils font alors appel à l’en­tre­prise phar­ma­ceu­tique pour réali­ser une phase 3. Ils se répar­tissent ensuite les rede­vances, les droits de commer­cia­li­sa­tion des brevets. Ensuite, Tony Fauci, à la tête des NIH, fait passer le produit par le proces­sus régle­men­taire de la FDA et du CDC, où il a choisi les membres de groupes d’ex­perts qui reçoivent tous de l’argent de sa part. Ils savent que leur produit est le prochain sur la liste, et que leur travail consiste à approu­ver ce produit et à le recom­man­der aux enfants.

J’ai donc vu ce proces­sus et son fonc­tion­ne­ment, et j’ai constaté qu’il s’agis­sait de contrôle régle­men­taire sous stéroïdes [regu­la­tory capture on steroids, voir note]. Et c’est le NIH qui reçoit l’argent. Je me suis fait dé-plateformer pour avoir dit : « Les NIH possèdent la moitié du vaccin Moderna. » Ils ont répondu : « C’est de la désin­for­ma­tion sur les vaccins. » Et bien, devi­nez quoi ? Jeudi dernier, Moderna a versé 400 millions de dollars aux NIH à titre de leur part des rede­vances perçues à ce jour. Toutes mes théo­ries de complot ont donc une durée de vie d’en­vi­ron trois mois avant de deve­nir réalité ! ⚪️

[Applaudissements]


➡ L’expression regu­la­tory capture on steroids a été créée en réac­tion à la poli­tique du gouver­ne­ment améri­cain qui pous­sait à la vacci­na­tion de jeunes enfants contre la CoVID-19, malgré les incer­ti­tudes sur le rapport bénéfice-risque de cette inter­ven­tion. Gavin Mario Wax, président du New York Young Republican Club, explique à ce sujet (1er novembre 2021N2) :

Aujourd’hui, le contrôle régle­men­taire est gonflé comme s’il était sous stéroïdes. Il ne s’agit pas seule­ment d’une bonne affaire pour les entre­prises. Il perpé­tue acti­ve­ment une rela­tion para­si­taire contre les contri­buables et l’en­semble du tissu social du pays.
Prenons l’exemple de l’ap­pro­ba­tion récente par un groupe d’ex­perts de la FDA du vaccin COVID-19 de Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans.
« Je pense qu’il s’agit d’une déci­sion rela­ti­ve­ment déli­cate », a déclaré le Dr Eric Rubin, conseiller de la FDA à l’uni­ver­sité de Harvard, au cours de la procé­dure d’ap­pro­ba­tion.
« Nous ne saurons jamais à quel point ce vaccin est sûr si nous ne commen­çons pas à l’ad­mi­nis­trer », a‑t-il ajouté, avant de solli­ci­ter un vote d’ap­pro­ba­tion.
Cette décla­ra­tion sans détour montre parfai­te­ment l’ab­sence de respon­sa­bi­lité et la décon­nexion de ces grands déci­deurs à l’égard de ceux qui sont soumis à ces déci­sions. Même si ces derniers sont des enfants de cinq ans qui veulent simple­ment rejoindre leurs amis à l’école mater­nelle.
Comment le peuple — et qui que ce soit, d’ailleurs — peut-il s’op­po­ser à un pouvoir aussi effron­té­ment affi­ché ?
Notre élite mana­gé­riale, qui comprend désor­mais le pouvoir des entre­prises, a créé cette crise des crises et consi­dère toute personne qui s’op­pose à ses solu­tions comme un terro­riste natio­nal, un supré­ma­ciste blanc ou un dange­reux désin­for­ma­teur. Le marteau s’abat alors pour élimi­ner toute contes­ta­tion.
Les gens tolèrent tout cela jusqu’à un certain point, et ce point a été mis à l’épreuve depuis un certain temps. Maintenant que des enfants sont impli­qués, nous avons proba­ble­ment atteint le point de non-retour.
Si vous n’avez pas l’im­pres­sion que le cœur et l’âme même de notre pays sont désor­mais en jeu, c’est que vous êtes proba­ble­ment trop intoxi­qué par la culture pop pour savoir ce qu’il en est. Vous ne faites certai­ne­ment pas partie de l’élite diri­geante de Build Back Better/Great Reset. Son compor­te­ment prouve que la propo­si­tion est vraie.
Que l’on soit de gauche, de droite ou du centre, l’ali­gne­ment poli­tique de chacun doit être mis de côté dès que l’on s’en­gage sur ce terrain. Des centaines, voire des milliers de parents à travers le pays se débar­rassent de ces étiquettes et risquent bien plus, simple­ment pour expri­mer publi­que­ment leur oppo­si­tion à la main­mise sur l’édu­ca­tion et la santé de leurs enfants.
Ils voient qu’il n’y a ni sécu­rité ni pros­pé­rité pour les familles et les géné­ra­tions futures tant qu’elles seront mani­pu­lées par des diri­geants non élus.


➡ Le soutien impli­cite que j’apporte aux points de vue d’éminents scien­ti­fiques nord-américains ne s’étend pas à leurs opinions poli­tiques, philo­so­phiques ou religieuses.

▷ Liens

🔵 Notes pour la version papier :
- Les iden­ti­fiants de liens permettent d’atteindre faci­le­ment les pages web auxquelles ils font réfé­rence.
- Pour visi­ter « 0bim », entrer dans un navi­ga­teur l’adresse « https://​leti​.lt/0bim ».
- On peut aussi consul­ter le serveur de liens https://leti.lt/liens et la liste des pages cibles https://leti.lt/liste.

  • N1 · sfq9 · Video “Anthony Fauci and the Public Health Establishment” – Robert F. Kennedy, Jr.
  • N2 · r0iq · Regulatory Capture on Steroids

This post has 3142 words.
This post has 18783 characters.

Article créé le 15/04/2023 - modifié le 2/07/2024 à 06h45

149 recommended
0 commentaires
515 visites
bookmark icon

Écrire un commentaire...

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.