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Cancer – dépistage

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Le dépis­tage de masse des cancers est un domaine qui suscite beau­coup d’in­ter­ro­ga­tions, autant en raison de l’in­cer­ti­tude des résul­tats que des effets drama­tiques de l’an­nonce d’un diagnostic.

Je laisse aux lectrices et lecteurs le soin de consul­ter les nombreux articles consa­crés à ce sujet. Par exemple, cette pageN1 du site Juste après dres­seuse d’ours et celle-ciN2 du site Atoute​.org ou encore l’ou­vrage de Jérémy Anso (2019N3). En France, le collec­tif Cancer RoseN4 a été créé pour faire connaître au public les données scien­ti­fiques les plus récentes sur le dépis­tage du cancer du sein, cible de nombreuses critiques.

(Suite de la page Cancer - nouvelles pistes)

Voici quelques infor­ma­tions (à complé­ter) sur des tech­niques de dépis­tage non-invasives, peu connues mais prometteuses.

Il s’agit de dépis­tage et non de diag­nos­tic. Toute obser­va­tion devrait être suivie d’un diag­nos­tic de certi­tude : biop­sieN5 etc.

Sommaire

Dépistage ISET

La méthode ISET® (Isolation by Size of Epithelial Tumor Cells) inven­tée par une équipe de l’INSERM diri­gée par Prof. Patrizia Paterlini-BréchotN6 permet l’isolement et la carac­té­ri­sa­tion de cellules tumo­rales circu­lant dans le sang à un stade précoce de la mala­die. Voir son ouvrage Tuer le cancer (2017N7) et un articleN8.

Notre espoir était de détec­ter l’in­va­sion tumo­rale au tout début. Grâce à des études sur l’ani­mal, on savait que ces cellules circulent dans le sang des années avant que les méta­stases appa­raissent. Or les patients meurent à cause des méta­stases, pas de la tumeur primi­tive. Comme pour le virus du sida, ces cellules mutent, et à force de muter, elles sont de plus en plus résis­tantes parce qu’on leur en laisse le temps.

Ce test — dont les brevets appar­tiennent aux insti­tuts publics de recherche — est commer­cia­lisé par RareCellsN9 et dispo­nible à Paris (labo­ra­toire ProbioN10).

➡ La tech­no­lo­gie ISET est par ailleurs utili­sée pour isoler des cellules fœtales circu­lantes dans le sang mater­nel en vue du diag­nos­tic préna­tal non-invasif de mala­dies et anoma­lies géné­tiques. J’ai person­nel­le­ment soutenu ces travaux face à l’in­cu­rie d’ins­ti­tu­tions sous la pres­sion de lobbies anti-IVG/IMG (voir dossierN11).

Thermographie

Le dépis­tage précoce des cancers par ther­mo­gra­phieN12 a long­temps été proposé comme méthode alter­na­tive — non-invasive — à la mammo­gra­phieN13. Il consiste à utili­ser une caméra infra­rouge pour compa­rer les tempé­ra­tures (en surface) du corps, par exemple entre les seins droit et gauche, sachant que l’in­flam­ma­tion peut être signa­lée par une éléva­tion de température.

Bien que vali­dée en 1982 aux USA par la Food and Drugs Administration pour le dépis­tage du cancer du sein (en complé­ment d’autres méthodes), cette tech­nique a été aban­don­née au profit de l’écho­gra­phie en raison des nombreux résul­tats faus­se­ment posi­tifs et faus­se­ment néga­tifs qu’elle produit. En 2000, l’American College of Radiology statuait qu’elle n’est d’aucune utilité, même en complé­ment à la mammo­gra­phieN14.

Échographie ductoradiale

L’écho­gra­phie ducto­ra­diale du sein a été inven­tée par Dr Michel Teboul (voir la vidéoN15). J’ai assisté à un sémi­naire d’un des rares écho­gra­phistes qui la pratiquent, le Dr Dominique Amy (2018N16 ; Francescatti, D & D Goer, eds., 2014N17, p. 97–112). Il exerce au Centre d’ima­ge­rie médi­cale du Jas de Bouffan (av. Jean Monnet) à Aix-en-Provence. Cette méthode dix fois plus précise que la mammo­gra­phieN13 permet de détec­ter des tumeurs milli­mé­triques le long des canaux lacti­fères et d’ob­ser­ver leur évolu­tion. Les tumeurs du sein sont épithé­lialesN18 et donc invi­sibles par mammo­gra­phie au dessous du centi­mètre (6 à 8 ans d’âge).

Source : 2022N19

Dr. Philippe Lagarde écritN19 :

La mammo­gra­phie ne sert plus qu’a détec­ter les micro­cal­ci­fi­ca­tions quand elles existent, ce qui n’est pas toujours le cas. L’échographie ducto­ra­diale permet de dres­ser une carto­gra­phie anato­mique et lésion­nelle des deux seins extrê­me­ment utile au chirur­gien avant une inter­ven­tion (pour bien situer la lésion), dessi­ner le lobe opéré sur la peau et déci­der de la posi­tion de la cica­trice, véri­fier s’il n’existe aucune autre lésion multi­fo­cale (sur le même lobe) ou multi­cen­trique (sur d’autres lobes) (non visibles à la mammo­gra­phie dans la plus part des cas).

La détec­tion de tumeurs de très petite taille permet à la patiente de renou­ve­ler le test après quelques mois et, en cas d’évo­lu­tion jugée inquié­tante, d’exer­cer un choix éclairé pour le passage à un diag­nos­tic inva­sif ou une inter­ven­tion. L’ablation chirur­gi­cale de ces tumeurs en début de forma­tion, très peu muti­la­toire, peut aussi être prati­quée si la patiente le souhaite.

Il est choquant que cette tech­nique d’ima­ge­rie n’ait pas été choi­sie pour le dépis­tage orga­nisé du cancer du sein, en rempla­ce­ment des mammo­gra­phies impré­cises et poten­tiel­le­ment toxiques. Les palpa­tions des méde­cins géné­ra­listes induisent un stress déme­suré chez les femmes qui doivent ensuite fran­chir plusieurs étapes avant de béné­fi­cier d’un examen en image­rie de haute qualité.

Critiques de la mammographie systématique et du traitement « précoce »

Biais d’avance du diag­nos­tic.
Source : OMS (2019N20) page 47

La « survie » mesure plutôt la durée de vie du cancer, ou la durée de vie du patient avec son cancer, mais en aucun cas la longé­vité, ou l’es­pé­rance de vie. Le dépis­tage entraîne une illu­sion d’op­tique en anti­ci­pant la date de nais­sance du cancer par sa détec­tion avant qu’il n’y ait de symp­tôme. Si le résul­tat est le même, c’est-à-dire le décès quel que soit le moment du diag­nos­tic, cela donne l’impression que la vie de la patiente s’en trouve allon­gée. En réalité, la longé­vité des femmes n’est pas accrue par le dépis­tage, il s’agit seule­ment d’un glis­se­ment de la « fenêtre d’observation » dans l’histoire de la mala­die (Cancer Rose, 2021N21).

La critique du dépis­tage systé­ma­tique par mammo­gra­phie (Cancer Rose, 2019N22) et du trai­te­ment précoce du carci­nome cana­laire in situN23 est fréquente dans le milieu des « méde­cines alter­na­tives », mais vus les enjeux elle mérite d’être étudiée distinc­te­ment d’autres affir­ma­tions qui lui sont associées.

Je me contente ici de traduire la présen­ta­tion de l’ou­vrage (que je n’ai pas lu) de Susan Wadia-Ells, Busting Breast Cancer : Five Simple Steps to Keep Breast Cancer Out of Your Body (2021N24) :

Évitez les mammo­gra­phies. Arrêtez les médi­ca­ments contra­cep­tifs… et les médi­ca­ments proges­ta­tifs pour la méno­pause aussi. Perdez votre excès de graisse MAINTENANT ! Arrêtez de vous accro­cher à ces emplois et rela­tions très stres­sants. Aussi contre-intuitif que cela puisse paraître, chacune de ces mesures fait partie des cinq étapes simples de Busting Breast Cancer docu­men­tées pour préve­nir effi­ca­ce­ment le cancer du sein ; chacune d’entre elles est basée sur de nouvelles connais­sances selon lesquelles le cancer est une mala­die méta­bo­lique logique, causée par le choix d’un mode de vie par une femme qui étouffe les mito­chon­dries, batte­ries d’éner­gie dans les cellules de ses seins. Chaque étape simple ou habi­tude de vie protège la santé des mito­chon­dries de vos cellules et réduit ainsi votre risque de déve­lop­per un cancer du sein de 30 à 80 % !

Le nouveau livre choquant du Dr Susan Wadia-Ells remet en ques­tion la sagesse présu­mée de la plupart des soi-disant auto­ri­tés : American Cancer Society ; Susan G. Komen ; National Academy of Medicine ; National Cancer Institute et les prin­ci­paux centres anti­can­cé­reux. Et pour­quoi ne remettrions-nous pas en ques­tion leur sagesse ? Au moins 30 % des femmes améri­caines trai­tées pour un cancer du sein à un stade précoce déve­loppent ensuite un cancer du sein méta­sta­tique (appelé cancer du sein méta­sta­tique récur­rent), ce qui garan­tit prati­que­ment leur mort préma­tu­rée. Les méde­cins doivent signa­ler chacun de ces diag­nos­tics de réci­dive méta­sta­tique aux registres de l’État. Mais vous serez peut-être surpris d’ap­prendre que l’in­dus­trie du cancer et ses parte­naires fédé­raux gardent ces chiffres secrets. Peut-être sont-ils trop embar­ras­sants pour être parta­gés.

Le Dr Wadia-Ells ne tergi­verse pas. Journaliste, diplô­mée en écono­mie poli­tique et en études fémi­nines, elle vise à chan­ger la culture améri­caine au nom des femmes. Après avoir passé en revue des milliers d’études dans le cadre de ses recherches pour ce livre, elle a décou­vert le texte de réfé­rence de 2012, Cancer as a Metabolic Disease [N25] du géné­ti­cien du Boston College, Thomas N. Seyfried, PhD. On y trouve l’ex­pli­ca­tion biolo­gique complète du pour­quoi et du comment de la première cellule cancé­reuse d’une personne. Une préven­tion effi­cace est désor­mais possible ! Enlevez les rubans roses. Arrêtez de courir après le remède. Faites un test d’équi­li­brage hormo­nal par salive. Maintenez votre taux sanguin de vita­mine D3 au-dessus de 60 ng/ml. Débarrassez-vous des glucides. Pratiquez la médi­ta­tion. Arrêtez d’étouf­fer les « batte­ries » de vos cellules mammaires, vos fragiles mito­chon­dries. Prenez les choses en main ! Arrêtez la première cellule cancé­reuse du sein avant qu’elle ne soit née.

Busting Breast Cancer propose égale­ment sept actions poli­tiques que les femmes améri­caines doivent entre­prendre immé­dia­te­ment : Exiger de la FDA qu’elle auto­rise la mise sur le marché améri­cain de stéri­lets sans hormones à un prix abor­dable de 30 dollars ; promou­voir l’im­por­tance des auto-examens des seins et des examens cliniques des seins ; rendre obli­ga­toire la couver­ture par les assu­rances des dépis­tages et des diag­nos­tics mammaires par ultra­sons sans exiger d’abord une mammo­gra­phie ; rendre obli­ga­toire la couver­ture par les assu­rances annuelles de tous les types de ther­mo­gra­phie de préven­tion précoce.

Face aux indus­tries de mammo­gra­phie et de trai­te­ment du cancer, qui génèrent aujourd’­hui des milliards de dollars et béné­fi­cient de trop d’in­ci­ta­tions finan­cières pour aban­don­ner leurs procé­dures nocives, qui peut chan­ger le cours de la préven­tion et du trai­te­ment du cancer du sein ? VOUS ! Seules les femmes ont inté­rêt à mettre fin à cette épidé­mie inutile de cancer du sein. Et main­te­nant, avec Busting Breast Cancer, vous aurez aussi les connais­sances nécessaires.

La critique du dépis­tage systé­ma­tique par mammo­gra­phie n’est pas nouvelle. En 2012, Peter C. Gøtzsche, qui diri­geait le Nordic Cochrane Centre à Copenhague, avait publié Mammography Screening : Truth, Lies and ControversyN26 commenté ainsi par Alan Cassel (2013N27):

Gøtzsche, le méde­cin qui a créé et dirige le Nordic Cochrane Centre à Copenhague, publie depuis plus de dix ans des études sur les programmes de dépis­tage par mammo­gra­phie. Sa spécia­lité, au sens large, est le biais dans la recherche clinique. Pour un spécia­liste de la partia­lité, la mammo­gra­phie est un terrain de jeu perpé­tuel.

Gøtzsche a suivi et parti­cipé aux hauts, aux bas et aux contro­verses du programme de dépis­tage le plus étudié, le plus promu et proba­ble­ment le plus viscé­ra­le­ment défendu de la planète. Le livre est rempli d’images détaillées de certains des cousins les plus infâmes de la malhon­nê­teté, notam­ment la fraude scien­ti­fique, la corrup­tion éhon­tée et les opinions médi­cales louches se présen­tant comme des faits, ainsi que de nombreux défauts plus pathé­tiques de l’hu­ma­nité qui surviennent lorsque des inté­rêts profon­dé­ment ancrés s’ef­forcent de défendre ce qui est une entre­prise de plus en plus indé­fen­dable. Sur la quasi-totalité de ces 388 pages, Gøtzsche fait preuve d’un enga­ge­ment sans faille — à la limite du fana­tisme — pour débus­quer les exagé­ra­tions, trou­ver la vérité et dénon­cer la malhon­nê­teté.

La plupart des messages sur la mammo­gra­phie affirment qu’elle peut réduire les taux de décès dus au cancer du sein ou prolon­ger la durée de survie, en citant de gros chiffres tels que des réduc­tions de 30 ou 40 %. Gøtzsche affirme que des termes tels que « durée de survie » sont très trom­peurs et que ce que nous devons vrai­ment savoir, c’est si les femmes vivent plus long­temps parce qu’elles subissent une mammo­gra­phie. Il démontre à plusieurs reprises que si la mammo­gra­phie sauve des vies, ces dimi­nu­tions sont minus­cules et ont un coût énorme. Il cite Nancy Newman, avocate de la National Conference of Women’s Bar Associations, qui a écrit que « l’ab­sence d’ef­fet discer­nable sur la morta­lité globale signi­fie que si la mammo­gra­phie prolonge la vie de certaines femmes, elle peut conduire à un surtrai­te­ment ou même à un raccour­cis­se­ment de la vie d’un nombre tout aussi impor­tant de femmes ».

Ce livre mettra beau­coup de gens mal à l’aise, non seule­ment parce qu’il dégonfle certaines croyances très chères, mais aussi parce qu’il cata­logue tant de varié­tés de conduites désho­no­rantes qui pour­raient s’ap­pli­quer à de nombreuses autres inter­ven­tions médi­cales très coûteuses bien que peut-être scien­ti­fi­que­ment non fondées. Gøtzsche a tendance à nous abreu­ver de détails et aime citer des noms, nous dire qui a dit, écrit ou affirmé quoi, qui a sélec­tionné les données et qui a lancé des attaques ad homi­nem parce que c’est le seul moyen qu’il leur restait contre Gøtzsche et ses collègues.

L’année dernière, c’est ce même Gøtzsche qui a jeté le gant dans les pages du CMAJ, en décla­rant que « la meilleure méthode dont nous dispo­sons pour réduire le risque de cancer du sein est d’ar­rê­ter le programme de dépis­tage » (Gøtzsche PC, 2012N28). La ques­tion qu’il nous a lais­sée (n’ou­bliez pas que c’était dans une revue médi­cale cana­dienne) était la suivante : « Quel pays allait être le premier à arrê­ter le dépis­tage par mammo­gra­phie ?« 

Gøtzsche a révélé qu’un scan­dale aux propor­tions mons­trueuses s’est abattu sur la popu­la­tion fémi­nine du monde où « des centaines de millions de femmes ont été séduites pour parti­ci­per à un dépis­tage sans savoir qu’il pouvait leur nuire. » Son livre va très certai­ne­ment commen­cer à répa­rer ce préjudice.

Il est inté­res­sant de noter que Peter Gøtzsche a été « limogé » en 2018 de son poste au Comité direc­teur du réseau Cochrane « dans un contexte de tensions crois­santes concer­nant la réorien­ta­tion de Cochrane vers un modèle commer­cial, loin de ses véri­tables racines que sont l’ana­lyse scien­ti­fique indé­pen­dante et le débat public ouvert » (Demasi M, 2021N29). Ce proces­sus d’ex­clu­sion a été très labo­rieux mais entiè­re­ment docu­menté à partir d’un enre­gis­tre­ment de la réunion (Institute for Scientific Freedom, 2021N30). Quatre autres membres ont immé­dia­te­ment démis­sionné pour expri­mer leur désac­cord avec cette procé­dure. Peter Gøtzsche a présenté dans une vidéo son parcours et commenté ce qu’il désigne comme un « procès spec­tacle kafkaïen » (Gøtzsche P, 2019N31).

(Suite sur la page Cancer - approche métabolique)

➡ Les réfé­rences biblio­gra­phiques complètes sont sur la page Cancer - conclusion et références.

➡ Le contenu de cet article ne se substi­tue pas aux recom­man­da­tions des profes­sion­nels de santé consul­tés par les lecteurs.

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  • N1 · cgaa · Et mes fesses, elles sont roses, mes fesses ?
  • N2 · 4r1m · Conforama, l’anapath et le cancer
  • N3 · gc0g · Ouvrage “Cancer du sein : Les ravages du dépis­tage”- Jérémy Anso
  • N4 · 9h5b · Collectif Cancer Rose
  • N5 · xa4h · Biopsie – Wikipedia
  • N6 · j2qz · Patrizia Paterlini-Bréchot – Wikipedia
  • N7 · c6hs · Paterlini-Bréchot, Patrizia (2017). Tuer le cancer. Paris : Stock.
  • N8 · 7obj · Focus sur Patrizia Paterlini-Bréchot la femme qui va nous sauver du cancer
  • N9 · xu66 · ISET by Rarecells
  • N10 · htcg · Où trou­ver l’ISET ?
  • N11 · xhva · Diagnostic préna­tal non-invasif (ISETANR/INSERM/AP-HP/Université Paris‑V/Metagenex)
  • N12 · 14f3 · La ther­mo­gra­phie dans le dépis­tage du cancer du sein
  • N13 · rkum · Mammographie – Wikipedia
  • N14 · c7se · La préven­tion du cancer du sein
  • N15 · e0of · Vidéo “L’échographie ductale”
  • N16 · nfzm · Amy, Dominique (2018). Lobar Approach to Breast Ultrasound. Springer.
  • N17 · p9i1 · Francescatti, D & Goer, D, eds. (2014). Breast Cancer – A New Era in Management. Springer.
  • N18 · 2p75 · Épithélium – Wikipedia
  • N19 · wgnl · L’échographie ducto-radiale progresse encore
  • N20 · h8ua · Programmes de dépis­tage : guide succinct. Accroître l’efficacité et opti­mi­ser le rapport entre béné­fices et effets nocifs
  • N21 · nrt4 · l’INCa toujours scan­da­leu­se­ment malhon­nête et non-éthique
  • N22 · vbf5 · Quelle est la diffé­rence entre fausse alerte et surdiag­nos­tic de cancer ?
  • N23 · hjn3 · Carcinome cana­laire in situ – Wikipedia
  • N24 · ma1k · Wadia-Ells, S (2021). Busting Breast Cancer : Five Simple Steps to Keep Breast Cancer Out of Your Body. Busting Breast Cancer eds.
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  • N29 · ly9a · Demasi M (2021). The Cochrane Tapes
  • N30 · ey3d · Institute for Scientific Freedom (2021). The Cochrane Tapes reveal one of the worst show trials ever conduc­ted in academia
  • N31 · xe9w · Gøtzsche P, 2019. Gøtzsche P, 2019. Video “Peter C. Gøtzsche : Death of a Whistleblower and Cochrane’s Moral Collapse”

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Article créé le 13/05/2019 - modifié le 2/04/2023 à 16h21

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